Bally Bagayoko - LFI -Saint-Denis - Pierrefitte - Journee nationale des aidants 6 octobre

6 octobre – Journée nationale des aidants

Une société qui reconnaît, soutient et protège celles et ceux qui prennent soin !

En ce 6 octobre 2025, nous rendons hommage aux aidantes et aidants : ces millions de femmes et d’hommes qui, dans l’ombre et souvent sans reconnaissance ni soutien, accompagnent un proche en situation de handicap, de perte d’autonomie ou de maladie. Ils sont 11 millions en France. Derrière ce chiffre, des vies de dévouement, d’épuisement, de solitude parfois. Et une société qui trop souvent les oublie.

La France insoumise affirme avec force : prendre soin ne doit jamais être une punition sociale.

L’abandon des aidants : un symptôme du néolibéralisme

Laisser les aidants seuls, c’est l’aboutissement d’un modèle fondé sur la casse des services publics, la marchandisation du soin, la destruction du lien social. C’est le résultat de décennies de politiques austéritaires qui ont affaibli l’hôpital, sous-financé l’aide à domicile, abandonné les EHPAD publics, méprisé les métiers du soin.

Ce sont surtout les femmes, premières concernées, qui paient le prix fort : arrêt ou réduction d’activité, précarité, isolement.
Les aidants sacrifient leur santé, leur vie professionnelle, leurs revenus – et parfois leur dignité – pendant que l’État ferme les yeux.

Pour une République sociale : nos propositions pour les aidants

La France insoumise défend un modèle humaniste, égalitaire, solidaire.
Dans notre programme « L’Avenir en commun », nous proposons :

  • Reconnaissance du statut d’aidant familial : avec des droits effectifs, un statut clair, et une compensation financière juste.
  • Rémunération des aidants : parce que prendre soin est un travail. Il mérite un revenu digne et une retraite complète.
  • Renforcement massif des services publics de l’autonomie : embauche de professionnels, revalorisation salariale, plan d’investissement dans les EHPAD publics, la médecine gériatrique, l’aide à domicile.
  • Droit au répit garanti : accès à des structures de relai, séjours de repos, accompagnement psychologique.
  • Plan national pour l’autonomie : piloté par les besoins des personnes, pas par les logiques de rentabilité.
  • Un grand service public du soin : parce que prendre soin n’est pas une marchandise mais une mission de la République.

« L’humanité passe par le soin. Et le soin, c’est l’affaire de toutes et tous. »

En cette journée nationale, nous ne voulons pas d’un hommage creux.
Nous voulons des droits, des moyens, de la justice. Car dans une société vraiment humaine, on ne laisse pas ceux qui aident seuls face à l’épreuve.

Le soin est un acte profondément politique. Il dit ce que nous voulons faire de notre société : l’individualisme brutal ou la solidarité vivante ? Le mépris ou la reconnaissance ? La résignation ou le combat ?

Aidants : invisibles aujourd’hui, indispensables toujours.
Avec vous, pour vous, nous ne lâcherons rien.

Le 6 octobre 2025

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Bally Bagayoko - Saint Denis - Pierrefitte - 28 septembre - Marche des résistances

Appel à mobilisation – Marche des Résistances – le 28 septembre 2025, partout en France

Initiée par le mouvement Indignons-nous !, cette grande mobilisation nationale s’inscrit dans la continuité des Assemblées Générales locales, qui depuis plusieurs semaines, animent les luttes et rassemblent les voix des précaires, des invisibles, des résistants. Les insoumis·es apportent leur soutien total à cette marche. Pourquoi marchons-nous le 28 septembre ?Parce que nous refusons : Nous marcherons pour : Une dynamique nationale en marche Après la réussite : Nouvelle date de convergence : samedi 28 septembre 2025 Déjà 223 organisations signataires !Ensemble, faisons converger nos luttes dans les rues. Le 25 septembre 2025

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Bally Bagayoko - Saint Denis - Pierrefitte - Drapeau Palestine

Drapeau palestinien levé, peuple oublié : l’indécente mise en scène de Saint-Denis

Ce matin, à l’aube, la mairie de Saint-Denis a hissé le drapeau palestinien sur son fronton. Un geste symbolique fort, en apparence. Mais à y regarder de plus près, ce geste en dit peut-être plus sur ceux qui l’ont orchestré que sur le message qu’il prétend porter. Car dans cette cérémonie surprise, tout a été pensé pour la communication, rien pour la mobilisation populaire. Aucune invitation lancée à la population. Aucun message aux collectifs engagés depuis des mois pour la reconnaissance de la Palestine. Aucune coordination avec les associations locales, ni avec les comités de soutien palestiniens, ni même avec les groupes d’opposition municipaux. Pire

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Bally Bagayoko - Saint Denis - Pierrefitte - Fresque Fraternité

Quand on efface l’art, on abîme la mémoire. Destruction de la fresque La Fraternité à Saint-Denis : consternation, émotion et exigence de réparation.

Il existe des œuvres dans nos quartiers qui dépassent leur simple statut artistique.Elles sont des repères visuels et affectifs, des fragments de mémoire collective, des témoins d’histoires populaires. C’était le cas de la fresque La Fraternité, peinte en 1993 sur un mur de la cité du Franc-Moisin à Saint-Denis.130 mètres de fresque.130 mètres de vie, de symboles, d’histoire. Aujourd’hui, cette œuvre a été détruite, sans qu’aucune alerte n’ait été sérieusement prise en compte. Elle représentait une femme kabyle au-dessus d’un globe tenu par une main : une allégorie d’un Nouveau Monde, réalisée par l’artiste américain Eloy Torrez, dans le cadre d’une commande du ministère de

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Bally Bagayoko - Saint Denis - Pierrefitte - Carole Delga

Ma réponse aux propos inacceptables de Carole Delga, présidente de la Région d’Occitanie !

Je suis choqué mais, hélas, plus surpris.Carole Delga, présidente socialiste de la région Occitanie, vient une nouvelle fois de franchir une ligne grave. Affirmer avec une désinvolture insupportable que « sur le terrain, Jean-Luc Mélenchon fait plus peur que Marine Le Pen. En Seine-Saint-Denis, ce n’est peut-être pas le cas, mais dans le reste de la France, c’est la réalité », ce n’est pas seulement inacceptable.C’est participer activement à la banalisation de l’extrême droite, à la diffusion de ses idées, et à la disqualification de celles et ceux qui la combattent réellement. En mettant la France Insoumise – et Jean-Luc Mélenchon – au même niveau

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Bally Bagayoko - Saint Denis - Pierrefitte - Ecoles

Soutien aux familles de Pierrefitte : l’Éducation est un droit, pas un parcours du combattant !

À Pierrefitte-sur-Seine, 24 élèves de 6e sont restés sans affectation scolaire pendant deux semaines, faute d’anticipation de la part des services de l’Éducation nationale. Ce sont des enfants de 11 ans laissés sur le bord du chemin de l’école, des familles plongées dans l’angoisse et le flou, contraintes de jongler entre travail, démarches administratives, et absence totale de réponses. Pendant ce temps, la DSDEN décidait de fermer une classe à Lucie Aubrac… pour en rouvrir une dans l’urgence à Pablo Neruda, un établissement déjà saturé, vétuste et en manque de personnel. Résultat : des enseignants sous pression, des cours qui peinent à démarrer, et des

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Bally Bagayoko - Saint Denis - Pierrefitte - Gaza - Hollande

Gaza : des propos inacceptables de François Hollande sur BFM

Alors que plus de 60 000 morts sont à déplorer, que plus de 80 % du territoire de Gaza est détruit, et que de nombreuses organisations internationales qualifient clairement la situation de génocide, François Hollande parle encore d’une “évolution génocidaire possible” si Israël “mettait à terme son plan”. Ces propos sont scandaleux et révisionnistes. Ils minimisent une réalité atroce déjà en cours, au mépris des faits, des victimes et du droit international. En affirmant cela publiquement, l’ancien président ne parle pas en son seul nom : il exprime sans détour la ligne ambiguë et complice du Parti socialiste face à l’agression contre le peuple palestinien.

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Bally Bagayoko - Saint Denis - Pierrefitte - CAF Saint Denis

CAF de Saint-Denis : Trop, c’est trop.

Depuis des mois, de nombreux usagers, comme Magali, se retrouvent sans réponses, sans aides, sans solutions. Ce matin encore, Magali s’est déplacée à la CAF. Résultat ?Pas de rendez-vous = pas d’aide.On lui parle d’un soi-disant bug informatique national… qui n’existe même pas. Pendant ce temps, les aides restent suspendues.Des familles vivent sans ressources depuis juin.Les plus fragiles — personnes âgées, précaires, non connectées — sont laissées sur le carreau. Nous interpellons la direction de la CAF de Saint-Denis : il est urgent d’agir. La CAF est un service public. Elle doit servir, pas exclure. Et Magali n’est pas seule. Elle parle pour des centaines

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Bally Bagayoko - Saint Denis - Pierrefitte - Intermarché - Pleyel - Photo CC Jojo975077773773

Un nouveau souffle pour Pleyel avec l’ouverture d’Intermarché !

Ce commerce de proximité, très attendu par les habitant·es et les salarié·es du quartier, a enfin ouvert ses portes après de longs retards juridiques et administratifs. Avec ses 1000 m², plus de 14 000 références, une double entrée (avenue Anatole France / boulevard Finot) et des caisses automatiques et traditionnelles, ce magasin répond à un véritable besoin local. Je salue le choix d’Intermarché de s’implanter à Saint-Denis. Mais au-delà de la simple présence commerciale, il est essentiel que l’enseigne s’engage pleinement en faveur de l’emploi local et de la formation des habitant·es. C’est une attente forte, légitime, pour faire de ce commerce un acteur territorial

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Bally Bagayoko - Saint Denis - Pierrefitte - Police - Tourcoing - photo CC par crash71100

Condamnation des violences à Tourcoing – Pour une police républicaine et une sécurité juste !

Nous condamnons l’agression du policier de la BAC survenue le 11 septembre à Tourcoing. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement. Cependant, la vidéo diffusée interroge : comment ce policier s’est-il retrouvé seul et isolé dans un contexte aussi tendu ? Dans le même temps, à Saint-Denis, un jeune de 19 ans a subi des violences humiliantes (crachat, gifle) de la part de policiers, sans justification. Il a fait preuve d’une retenue remarquable face à cet acte injuste. Ces deux événements montrent une chose : la violence, qu’elle vienne d’individus ou de l’institution, mine la confiance, fracture les quartiers, alimente les tensions. On peut – et

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