ATTENTATS DU 13 NOVEMBRE 2015 : « Le compte n’y ait pas. Il ne peut y avoir deux niveaux de victimes ». Bally BAGAYOKO

MESSAGE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

Monsieur le Président de la République, le compte n’y ait pas depuis les attentats du 13 novembre 2015.

Vous étiez ce matin au Stade de France à Saint-Denis, aux cotés de Dionysiens et Dionysiennes, venus nombreux porter un hommage mérité à nos disparus et victimes des attentats. Michael DIAS, fils de Manuel DIAS victime de ces attentats horrible à Saint-Denis a eu l’occasion de porter un discours émouvant, juste, qui force à la réflexion et appelle de ses vœux une prise en compte réelle de l’image du monde

Unis pour rendre hommage à nos victimes et nos disparus, reste un acte majeur, en ce jour à Saint-Denis, à Paris, en France et dans le monde, pour nous rappeler l’impérieuse nécessité de lutter contre le terrorisme par l’avènement d’une société plus juste, respectueuse des différences,  en promouvant le principe de laïcité réelle, le droit à la différence et au discernement mais surtout une promotion des cultures par l’éducation et l’inclusion, pour éloigner le tsunami de la stigmatisation et des amalgames..

Cette journée est aussi nécessaire pour se rappeler que la République n’est pas à jour de ces engagements. En effet 1 an après les attentats, les 44 ménages du 48 rue de la République à Saint-Denis, soit plus de 90 personnes dont 24 enfants n’ont pas tous trouvés de solution. Les chiffres sont alarmants :

  • Plus de 40 personnes, soit 20 ménages sont en attente de réponses sur leur relogement
  • Les victimes ne sont toujours pas reconnues au titre de victimes de terrorisme, afin de bénéficier des indemnités associées

Ce constat douloureux reste une offense à nouveau à l’encontre de ces victimes. Il ne peut y avoir deux niveaux de victimes. Monsieur le Président de la République, la République s’honorerait à tenir ses engagements, en commémorant de manière complète la mémoire de nos disparus et victimes. Il ne serait pas acceptable d’attendre une année supplémentaire, pour tenir ces engagements élémentaires.

Bally BAGAYOKO

 

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Ce qui est certain, est que la doctrine de la macronie n’ayant pas changé, pire avec la présence des 89 députés, il est fort à parier que nous nous acheminons vers la reconduction des mêmes bavures de la République avec le lots de blessés, d’éborgnés. Laurent Nunez Officiel sera à t’il à la hauteur de l’enjeu ? Il y a une forte attente d’une autre politique de sécurité publique au niveau national. La reconduction des pratiques indignes serait impardonnable.

Attention voila Laurent Nunez en remplacement de Lallement !

Ce qui est certain, est que la doctrine de la macronie n’ayant pas changé, pire avec la présence des 89 députés, il est fort à parier que nous nous acheminons vers la reconduction des mêmes bavures de la République avec le lots de blessés, d’éborgnés. Laurent Nunez Officiel sera à t’il à la hauteur de l’enjeu ? Il y a une forte attente d’une autre politique de sécurité publique au niveau national. La reconduction des pratiques indignes serait impardonnable.

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Pour toutes ces raisons, la recherche de solutions politiques, administratives, financières, dans de nouveaux locaux ; mais aussi humanistes, reste essentielle. Ici il n’est pas question de mettre en cause directement la SEM Plaine Commune dans son objet, ni dans sa volonté de tenir des échéances de livraison d’un programme ; mais d’agir pour que la ville et plaine commune se positionnent en responsabilité pour aider à une sortie par le haut en associant tous les partenaires potentiels, dans une échéance responsable. Car la réponse est politique.

Sauvons l’association Mamama et ses activités !

Pour toutes ces raisons, la recherche de solutions politiques, administratives, financières, dans de nouveaux locaux ; mais aussi humanistes, reste essentielle. Ici il n’est pas question de mettre en cause directement la SEM Plaine Commune dans son objet, ni dans sa volonté de tenir des échéances de livraison d’un programme ; mais d’agir pour que la ville et plaine commune se positionnent en responsabilité pour aider à une sortie par le haut en associant tous les partenaires potentiels, dans une échéance responsable. Car la réponse est politique.

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« Alors que l’on fête cette année les 50 ans de la loi du 1er juillet 1972, dite « loi Pleven », qui a créé les délits spécifiques d’injure et de diffamation à caractère raciste ainsi que la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, force est de constater que les discours stigmatisants aux relents racistes et xénophobes n’ont pas disparu de l’espace public et médiatique.

Ce mandat présidentiel qui commence, risque d’être une lessiveuse pour renforcer l’acceptabilité politique et démocratique du parti raciste ?

« Alors que l’on fête cette année les 50 ans de la loi du 1er juillet 1972, dite « loi Pleven », qui a créé les délits spécifiques d’injure et de diffamation à caractère raciste ainsi que la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, force est de constater que les discours stigmatisants aux relents racistes et xénophobes n’ont pas disparu de l’espace public et médiatique.

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Plusieurs locataires du parc social de Ville de Saint-Denis ont eu la tristesse de constater des augmentations sans précédent, injustifiées et en pleine période de difficultés financières pour bon nombre de locataires. Les gestionnaires des bailleurs sociaux doivent revenir sur ces augmentations indignes, brutales, disproportionnées qui parfois dépassent le coût de la vie. augmentation du coût du chauffage augmentation du coût du gaz augmentation des charges communes augmentation des charges d’ascenseur augmentation des loyers Dans certains cas ces augmentations vont jusqu’à plus de 1500 euros / an pour certains locataires. Des dépenses qui s’apparentent à un énième mois de loyer supplémentaire (13, 14 parfois 15eme

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