L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis et de gager les moyens financiers importants consacrés à cette candidature. Si cette situation advenait, le maire, président de Plaine Commune, le président du conseil départemental et sa majorité devront en assumer les conséquences et en porter toute la responsabilité.

L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis !

[#CapitaleEuropeenne2028 ! Oui mais pas en piétinant le droit à l’image et le respect du aux acteurs de la culture de la première heure !
Je suis sans voix à la lecture du récit de Yslande Bosse grande professionnelle du journalisme et qui a contribué à faire vivre notre journal d’information locale qui était le @JSD qui a été détruit par la nouvelle municipalité et son maire Mathieu Hanotin. Après les excuses proférées, ce qui est un minimum, des dédommagements devront être pensés tant le préjudice subit est réel.
L’association qui répond à une commande politique, motivée par le portage de la candidature de la Ville de Saint-Denis, de Plaine Commune, du département de la Seine Saint Denis, dans le cadre d’une compétition européenne.
Concourir ne peut se faire en piétinant les principes légaux, en écartant les porteurs initiaux du projets que j’ai eu l’occasion de rencontrer et de saluer pour leur travail remarquable.
Concourir ne peut s’apparenter à se comporter en mercenaire, ternissant l’image de la ville avec des pratiques douteuses, appliquées visiblement par l’édile de la ville et président de Plaine Commune.
Le maire de Saint Denis, et président de Plaine commune; le président du conseil départemental de Seine Saint Denis doivent des explications et demander à l’association Périféeries 2028 – Capitale européenne de la culture une clarification, la condamnation des pratiques et leur régularisation. Il n’est pas acceptable de laisser prospérer ce type d’usage dans les relations entre le politique, les acteurs de la culture et les citoyens.
Usages de photos sans le consentement des intéressées, diffusion sur plusieurs supports depuis de nombreuses années; des acteurs culturels écartés sans explication juste par le fait du prince ? Ceux qui se sont souvent décernés, le titre de grand légaliste devant l’éternel, sont en réalité les premiers de cordée pour s’asseoir sur le cadre légal ? Je demande aux élus des villes de Plaine commune, de Saint-Denis, aux conseillers départementaux, de demander un point d’étape sur le projet en question et les éléments d’explications sur les manquements qui tournent autour du portage politique de ce projet. Un défaut de portage, auquel il faut additionné visiblement des manquements techniques et de respect du droit.
L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis et de gager les moyens financiers importants consacrés à cette candidature. Si cette situation advenait, le maire, président de Plaine Commune, le président du conseil départemental et sa majorité devront en assumer les conséquences et en porter toute la responsabilité.
Pendant ce temps, l’implication timide des acteurs de la culture, semble être la règle ?
Après Nora Hamadi que je salue pour son engagement sans faille sur ledit projet depuis le début; qui a été écarté depuis. Ensuite Yslande Bosse qui nous alerte sur certaines pratiques à la limite de la légalité. Désormais, les alertes sont nombreuses et il apparaît que les politiques semblent indifférents, n’ont pas d’avis ? Dans les deux cas leur complicité risque d’advenir.
Solidaire de @YslandeBosse dont je connais la droiture et qui doit avoir des réponses à ses questions légitimes.
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Bally BAGAYOKO Europacity : Avis défavorable du commissaire enquêteur à la révision du PLU !

Europacity : Avis défavorable du commissaire enquêteur à la révision du PLU !

Communiqué de presse
Europacity : Après l’avis très défavorable du commissaire enquêteur à la révision du Plan Local d’urbanisme (PLU) de la ville de Gonesse, une seule solution abandonner ce projet démentiel !.
Les élu-es du groupe REVE-insoumis saluent cette bonne nouvelle.

Le commissaire enquêteur vient de rendre son rapport et son avis est très défavorable. Sans surprise ce projet d’aménagement du Triangle de Gonesse est peu compatible avec la notion de développement durable, va à l’encontre de la politique contre le réchauffement climatique.

De plus les créations d’emplois annoncées pourraient se faire au détriment des activités présentes sur les territoires voisins, ajoutant que les objectifs en matière d’emplois sont peu en phase avec le niveau de formation local.

Cependant cet avis n’est que consultatif et la mairie (de Gonesse) risque fort de ne pas en cause la mise en place de ce projet d’un autre temps. Comme le rappelle la mairie de Gonesse: « La décision appartient aux élus».

Aux saigneurs de terres nous préférons les soigneurs de terres ainsi nous soutenons le projet du groupement de Coopération pour une Ambition et Métropolitaine Agricole (CARMA) qui créerait des emplois durables et non-delocalisables grace à l’agro-ecologie et à la redéfinition des circuits de production et de consommation tout en luttant contre le mitage des terres agricoles.

Pour nous ce projet sera toujours mauvais et inutile, 1,7 milliards d’euros seraient dépensés pour un énième centre commercial « au détriment des activités présentes sur les territoires voisins ».Et alors que l’autonomie alimentaire de nos villes est menacé à échéance d’une dizaine d’années.

De nombreux centres commerciaux, y compris en Ile-de-France (Millénaire, Domus, etc. ) peinent à trouver leur équilibre économique. Le modèle de faire société, de « vivre ensemble » hyper consumériste est fortement critiquable.
Il y a mieux à faire. La lutte continue pour préserver ces terres agricoles et aménager autrement le nord francilien.

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Cela montre l’attente forte pour une démarche affirmée de défense des classes populaires ajustée à notre époque, un projet politique novateur qui se définit lui-même ainsi : « Nous sommes un collectif citoyen soutenu par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et conduite par Bally Bagayoko. Notre projet, pour les élections municipales, est ouvert à toutes celles et tous ceux qui veulent le changement par et pour les habitant-es.

Elections municipales : Lettre ouverte des élu.es Insoumis de la majorité de Saint-Denis !

Cela montre l’attente forte pour une démarche affirmée de défense des classes populaires ajustée à notre époque, un projet politique novateur qui se définit lui-même ainsi : « Nous sommes un collectif citoyen soutenu par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et conduite par Bally Bagayoko. Notre projet, pour les élections municipales, est ouvert à toutes celles et tous ceux qui veulent le changement par et pour les habitant-es.

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Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

Elections municipales : la France Insoumise avance…..

Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

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Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue. L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun. La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

Stop à l’expulsion du Landy Sauvage !

Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue.
L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun.
La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

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