[#CDGEXPRESS ! Le groupe REVE INSOUMIS demande à l’Etat, la suspension des travaux du CDG Express et un plan de rénovation du RER B et D. Bally Bagayoko]

[#CDGEXPRESS ! Le groupe REVE INSOUMIS demande à l’Etat, la suspension des travaux du CDG Express et un plan de rénovation du RER B et D. Bally Bagayoko]

Le CDG Express doit relier à partir du 1er janvier 2024 la gare de l’Est, dans le centre de Paris (gare du Nord) , au terminal 2 de l’aéroport international de Roissy Charles de Gaulles. En admettant, qu’il soit nécessaire de prévoir le renforcement de l’attractivité de l’aéroport Roissy CDG et de la métropole parisienne ! Cela ne peut se faire en dégradant les infrastructures actuelles et en ne prenant pas les mesures coercitives pour améliorer les conditions de transport des usagers sur les lignes actuelles empruntées par des milliers d’usagers, en particulier les lignes B et D.

Le groupe RÊVE – INSOUMIS demande la suspension des travaux prévus sur la ligne B.

Notre groupe s’était opposé déjà sur le principe même du projet de train direct qui sera en concurrence avec le RER B, qui connait actuellement des niveaux de fréquentations élevés avec plus de 900 000 voyageurs par jour, deuxième ligne d’Europe en fréquentation et le RER D avec plus de 620 000 usagers quotidien, avec plus de 197 km de voies et 70 communes desservies. Ce dernier ne cesse de rencontrer des records de retard, une irrégularité persistante et les annulations deviennent la règle. Ces caractéristiques justifient un plan d’urgence absolue pour leurs rénovation et renforts. Un projet CDG Express qui n’a jamais été prévu pour que les habitant.e.s de nos territoires puissent l’emprunter. Ce qui est une discrimination de plus.

Nous avons la conviction profonde que les impacts des travaux du CDG Express prévus de 2019 à 2024, empruntant les infrastructures des lignes RER B, D et des lignes transiliens K,P, E durant le chantier d’adaptation de la gare de l’Est, n’ont pas été suffisamment pris en compte.

Nous attendons des engagements clairs, forts et rapides pour les travaux sur le RER B, D et pour les lignes 16 et 17 du projet Grand Paris Express. Les habitants des quartiers populaires ne peuvent subir le mépris d’Etat constant et les discriminations territoriales avec ce projet CDG Express qui ignore les habitant.e.s et salarié.e.s au profit des hommes d’affaires et des touristes. Nos territoires et leur population ne sont pas des « zoo-urbains » et doivent être respectés.

Le groupe RÊVE – INSOUMIS soutien la nécessité d’un plan d’urgence pour le RER B et D qui doit passer par :

· Commande des rames nouvelles

· Des moyens complémentaires bus, tramway

· Un plan d’urgence vélo, avec parkings et aménagements cyclables sécurisées, en particulier pour assurer le rabattement vers le RER B et D

· Plan d’urgence pour l’information en temps réels de voyageurs du RER B et D

· Reprise du système de pilotage des lignes B et D

· Renforcement des aménagements paysagers, de la végétalisation et de la réduction des nuisances sonores

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Bally BAGAYOKO Europacity : Avis défavorable du commissaire enquêteur à la révision du PLU !

Europacity : Avis défavorable du commissaire enquêteur à la révision du PLU !

Communiqué de presse
Europacity : Après l’avis très défavorable du commissaire enquêteur à la révision du Plan Local d’urbanisme (PLU) de la ville de Gonesse, une seule solution abandonner ce projet démentiel !.
Les élu-es du groupe REVE-insoumis saluent cette bonne nouvelle.

Le commissaire enquêteur vient de rendre son rapport et son avis est très défavorable. Sans surprise ce projet d’aménagement du Triangle de Gonesse est peu compatible avec la notion de développement durable, va à l’encontre de la politique contre le réchauffement climatique.

De plus les créations d’emplois annoncées pourraient se faire au détriment des activités présentes sur les territoires voisins, ajoutant que les objectifs en matière d’emplois sont peu en phase avec le niveau de formation local.

Cependant cet avis n’est que consultatif et la mairie (de Gonesse) risque fort de ne pas en cause la mise en place de ce projet d’un autre temps. Comme le rappelle la mairie de Gonesse: « La décision appartient aux élus».

Aux saigneurs de terres nous préférons les soigneurs de terres ainsi nous soutenons le projet du groupement de Coopération pour une Ambition et Métropolitaine Agricole (CARMA) qui créerait des emplois durables et non-delocalisables grace à l’agro-ecologie et à la redéfinition des circuits de production et de consommation tout en luttant contre le mitage des terres agricoles.

Pour nous ce projet sera toujours mauvais et inutile, 1,7 milliards d’euros seraient dépensés pour un énième centre commercial « au détriment des activités présentes sur les territoires voisins ».Et alors que l’autonomie alimentaire de nos villes est menacé à échéance d’une dizaine d’années.

De nombreux centres commerciaux, y compris en Ile-de-France (Millénaire, Domus, etc. ) peinent à trouver leur équilibre économique. Le modèle de faire société, de « vivre ensemble » hyper consumériste est fortement critiquable.
Il y a mieux à faire. La lutte continue pour préserver ces terres agricoles et aménager autrement le nord francilien.

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Cela montre l’attente forte pour une démarche affirmée de défense des classes populaires ajustée à notre époque, un projet politique novateur qui se définit lui-même ainsi : « Nous sommes un collectif citoyen soutenu par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et conduite par Bally Bagayoko. Notre projet, pour les élections municipales, est ouvert à toutes celles et tous ceux qui veulent le changement par et pour les habitant-es.

Elections municipales : Lettre ouverte des élu.es Insoumis de la majorité de Saint-Denis !

Cela montre l’attente forte pour une démarche affirmée de défense des classes populaires ajustée à notre époque, un projet politique novateur qui se définit lui-même ainsi : « Nous sommes un collectif citoyen soutenu par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et conduite par Bally Bagayoko. Notre projet, pour les élections municipales, est ouvert à toutes celles et tous ceux qui veulent le changement par et pour les habitant-es.

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Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

Elections municipales : la France Insoumise avance…..

Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

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Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue. L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun. La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

Stop à l’expulsion du Landy Sauvage !

Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue.
L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun.
La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

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