[#Communiqué de presse de l’Union sociale pour l’habitat qui demande à être reçue sans délai par le Président de la République. Parce que la question sociale liée au logement est un enjeu majeur à plus forte raison avec l’obtention des JOP 2024, je suis solidaire de la démarche engagée par l’union Social pour l’habitat pour préserver le logement pour tous qui de tout temps a été pour moi un enjeu de bataille. Bally BAGAYOKO]

[#Communiqué de presse de l’Union sociale pour l’habitat qui demande à être reçue sans délai par le Président de la République. Parce que la question sociale liée au logement est un enjeu majeur à plus forte raison avec l’obtention des JOP 2024, je suis solidaire de la démarche engagée par l’union Social pour l’habitat pour préserver le logement pour tous qui de tout temps a été pour moi un enjeu de bataille. Les attaques à répétition par le gouvernement Philippe Édouard et le président Macron, sur tout ce qui fait solidarité, est une alerte supplémentaire à la vigilance collective et continue. Alors continuons à agir pour un vrai service publique du logement pour tous et toutes quelques soit la situation sociale et économique avec une priorité donnée aux classes populaires. Bally Bagayoko]

« Dans le contexte particulier des annonces désordonnées, reportées, relatives au « plan logement », l’Union sociale pour l’habitat, qui regroupe les organismes Hlm, demande solennellement à être reçue sans délai par le Président de la République.

Alors que les locataires Hlm sont de plus en plus pauvres, et que la demande de logement social ne cesse de croître, le logement social fait face à une attaque sans précédent.

La question du logement, et notamment celle du logement social, ne peut pas être sacrifiée pour des enjeux strictement budgétaires de court terme. Il s’agit d’une question sociale et économique qui engage un modèle de société.

En appelant, sans en mesurer les conséquences pour les organismes Hlm, à des baisses insoutenables de loyers, pour compenser une volonté unilatérale de Bercy de baisser drastiquement les APL pour les locataires Hlm, le Gouvernement s’attaque au logement social. Il fait courir un risque majeur à un secteur qui loge aujourd’hui 11 millions de personnes, qui produit plus de 100 000 logements sociaux par an, génère 300 000 emplois et qui se doit de continuer à entretenir et rénover les logements de ses locataires.

Un Français sur deux habite ou a habité dans le logement social. Les organismes Hlm sont porteurs d’une dette de 140 milliards d’euros notamment auprès de la Caisse des Dépôts. Cette dette est garantie par les collectivités locales. C’est dire les conséquences irréversibles qu’auraient des décisions brutales et non concertées pour l’ensemble de la société française.

Le budget du logement en France est, pour plus de la moitié, tourné vers le parc privé. En faisant assumer les économies envisagées par le seul parc Hlm et ses locataires, le Gouvernement nuirait à très court terme à la qualité du parc social, à son entretien, à sa modernisation et mettrait en cause le secteur social.

Pour Jean-Louis Dumont, président de l’Union sociale pour l’habitat, « le « budgétarisme » de Bercy c’est une doctrine, mais ça ne fait pas une politique du logement au service des habitants. Nous demandons à être reçus par le Président de la République pour mettre avec lui, sur la table, l’ensemble des sujets qui préoccupent les acteurs du logement social : le financement du logement social bien sûr, avec nos partenaires que sont la Caisse des Dépôts et les collectivités locales, mais également la situation des quartiers, le choc de l’offre, la paupérisation d’une grande partie des locataires du parc social, l’enjeu de la transition énergétique, la mobilité... Voilà les sujets qui devraient être véritablement au cœur de la politique du logement. »

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Bally BAGAYOKO Europacity : Avis défavorable du commissaire enquêteur à la révision du PLU !

Europacity : Avis défavorable du commissaire enquêteur à la révision du PLU !

Communiqué de presse
Europacity : Après l’avis très défavorable du commissaire enquêteur à la révision du Plan Local d’urbanisme (PLU) de la ville de Gonesse, une seule solution abandonner ce projet démentiel !.
Les élu-es du groupe REVE-insoumis saluent cette bonne nouvelle.

Le commissaire enquêteur vient de rendre son rapport et son avis est très défavorable. Sans surprise ce projet d’aménagement du Triangle de Gonesse est peu compatible avec la notion de développement durable, va à l’encontre de la politique contre le réchauffement climatique.

De plus les créations d’emplois annoncées pourraient se faire au détriment des activités présentes sur les territoires voisins, ajoutant que les objectifs en matière d’emplois sont peu en phase avec le niveau de formation local.

Cependant cet avis n’est que consultatif et la mairie (de Gonesse) risque fort de ne pas en cause la mise en place de ce projet d’un autre temps. Comme le rappelle la mairie de Gonesse: « La décision appartient aux élus».

Aux saigneurs de terres nous préférons les soigneurs de terres ainsi nous soutenons le projet du groupement de Coopération pour une Ambition et Métropolitaine Agricole (CARMA) qui créerait des emplois durables et non-delocalisables grace à l’agro-ecologie et à la redéfinition des circuits de production et de consommation tout en luttant contre le mitage des terres agricoles.

Pour nous ce projet sera toujours mauvais et inutile, 1,7 milliards d’euros seraient dépensés pour un énième centre commercial « au détriment des activités présentes sur les territoires voisins ».Et alors que l’autonomie alimentaire de nos villes est menacé à échéance d’une dizaine d’années.

De nombreux centres commerciaux, y compris en Ile-de-France (Millénaire, Domus, etc. ) peinent à trouver leur équilibre économique. Le modèle de faire société, de « vivre ensemble » hyper consumériste est fortement critiquable.
Il y a mieux à faire. La lutte continue pour préserver ces terres agricoles et aménager autrement le nord francilien.

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Cela montre l’attente forte pour une démarche affirmée de défense des classes populaires ajustée à notre époque, un projet politique novateur qui se définit lui-même ainsi : « Nous sommes un collectif citoyen soutenu par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et conduite par Bally Bagayoko. Notre projet, pour les élections municipales, est ouvert à toutes celles et tous ceux qui veulent le changement par et pour les habitant-es.

Elections municipales : Lettre ouverte des élu.es Insoumis de la majorité de Saint-Denis !

Cela montre l’attente forte pour une démarche affirmée de défense des classes populaires ajustée à notre époque, un projet politique novateur qui se définit lui-même ainsi : « Nous sommes un collectif citoyen soutenu par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et conduite par Bally Bagayoko. Notre projet, pour les élections municipales, est ouvert à toutes celles et tous ceux qui veulent le changement par et pour les habitant-es.

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Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

Elections municipales : la France Insoumise avance…..

Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

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Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue. L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun. La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

Stop à l’expulsion du Landy Sauvage !

Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue.
L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun.
La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

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