Bally BAGAYOKO avec Grand Corps Malade

Construisons Ensemble un nouveau cap pour notre ville !

CONSTRUISONS ENSEMBLE UN NOUVEAU CAP POUR NOTRE VILLE !

 

 

Saint-Denis c’est le plaisir de vivre dans une ville jeune, dynamique, avec une identité forte.

 

Saint-Denis, ce sont des associations, des collectifs et des habitant.es qui se bougent pour faire vivre nos quartiers, pour que perdurent les solidarités et se perpétuent les liens.

 

Saint-Denis, c’est un art de bien vivre ensemble, dans une ville-monde où des dizaines de nationalités, de langues, de cultures s’enrichissent mutuellement.

 

C’est enfin une tradition de luttes contre l’injustice, le racisme, l’exclusion et les inégalités, pour la dignité de chacun et le respect des droits.

 

Alors, parce que Saint-Denis est une ville belle et rebelle, parce que c’est une ville populaire et que nous l’aimons ainsi – nous, gens de Saint-Denis, insoumises et insoumis, ou pas loin de l’être – affirmons qu’il est grand temps de faire converger ces expériences, ces envies d’agir, ces imaginations dans un même projet démocratique, cohérent, puissant, en phase avec notre temps, pour la ville.

 

Car il reste tant à faire !

 

  • Sur la Démocratie : la question n’est pas « la démocratie participative », mais de la construire ensemble ! Nos élus sont les mandataires de notre parole, ils doivent travailler avec nous, es, collectifs, associations… car les experts de notre vie, c’est nous ! Comment nous organiser pour assurer la transparence, la participation active de tous ?

 

  • Sur notre cadre de vie : notre ville est sale, polluée, striée de grands axes donnant toute la place à la voiture. Comment ensemble, penser notre si jolie ville avec des circulations douces, des espaces verts, des habitats dignes et économes ? Comment repenser la ville, le travail, les transports pour qu’ils répondent autant à notre besoin de travailler et nous déplacer… que de respirer !

 

 

  • Sur nos services publics : dans la droite ligne de la commission Européenne, l’État réduit nos services publics à une peau de chagrin. Saint-Denis est particulièrement maltraitée par cette austérité. N’est-il pas possible de mettre en place, au local, une politique budgétaire ambitieuse ? Préserver nos fonctionnaires territoriaux par exemple, c’est s’assurer que chacun ait accès au service auquel il a droit, mais c’est aussi préserver un souffle économique à la ville ! Ne pouvons-nous pas, au local, mettre en place et/ou renforcer nos systèmes de solidarité ?

 

  • Sur la jeunesse et l’éducation : professeurs absents non remplacés, conditions d’études dégradés, climat de violence, accès à la culture difficile… la liste est longue ! Il y a de quoi être admiratifs que tant de nos enfants s’en sortent bien dans de telles conditions ! Mais nous leur devons plus : l’avenir auquel leurs talents et leurs envies les invite ! Comment résister à l’abandon de l’état, comment créer et organiser au local les alternatives qui préserve leur épanouissement ?

 

Ces dernières années, avec mes ami.e.s insoumis.es de Saint-Denis nous nous sommes impliqués au quotidien dans nombre de luttes locales (la régie publique de l’eau, la piscine de Marville, l’enfouissement de l’autoroute, les migrants de Wilson, la violence dans et aux abords des établissements scolaires, le stationnement, etc.).

 

Avec nombre d’associations et de collectifs, Dionysien.n.e.s, il est temps de prendre nos responsabilités et de porter ces expériences et ces idées à l’épreuve du pouvoir !

 

Car il y aurait tant d’autres choses à dire, à faire, sur tant d’autres aspects de notre ville : insertion, emploi, logement, sécurité, culture… faisons converger nos expériences, nos points de vue dans un même et ambitieux projet !

 

Bally BAGAYOKO

Tête de liste Faire Saint-Denis En Commun

 

 

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L’autoritarisme de l’actuel maire Mathieu Hanotin, face à la crise des légionnelles et à la démocratie

Lors du conseil municipal du 13 février, l’attitude autoritaire du maire de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, a encore une fois suscité une vive réaction. Depuis sa prise de fonction en 2020, il a régulièrement empêché des membres de l’opposition, tels que Sophie RIGARD, Brahim CHIKHI, Sofia BOUTRIH et l’insoumis Yohan SALES, de s’exprimer. Cette fois, c’est Bakary SOUKOUNA, conseiller municipal, qui a vu sa parole coupée lorsqu’il voulait discuter de la situation des locataires de la résidence Pablo Neruda, confrontés à la présence de légionnelles dans leur réseau d’eau. Le maire a qualifié ce sujet d’inapproprié, dénigrant son intervention, jusqu’à le qualifier de « jouer Nous

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Bally Bagayoko - LFI -Saint-Denis - Pierrefitte - Budget - Image Freepik

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