DÉCLARATION DES INSOUMISES et INSOUMIS DE SAINT-DENIS
En Europe comme à Saint-Denis :
« Maintenant le peuple ! »
DÉCLARATION DES INSOUMISES et INSOUMIS DE SAINT-DENIS
En Europe comme à Saint-Denis :
« Maintenant le peuple ! »
Du 26 au 28 août 1944, nos villes retrouvaient la liberté. Il y a 81 ans, Pierrefitte (libérée le 26 août) et Saint-Denis (le 28 août) sortaient de l’occupation nazie. Pendant plusieurs jours de combats acharnés, les Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), épaulées par la 2e division blindée du général Leclerc, ont mis fin à quatre années de terreur, de collaboration et de répression.Mais cette libération ne fut ni magique, ni pacifique. Elle fut le fruit du courage de milliers d’anonymes et de figures locales engagées dans la Résistance, souvent au péril de leur vie. Elle fut également le résultat d’une organisation collective, patiemment tissée
Ce qu’il s’est passé à Royère-de-Vassivière dans la nuit du 15 août est grave. Et malheureusement, ce n’est ni un “dérapage”, ni un “accident”. C’est du racisme pur et dur. Une chasse raciale, des agressions violentes, des menaces fascistes proférées publiquement. Le tout dans un silence médiatique presque total. Je veux saluer ici la mobilisation des plus de 300 habitant·e·s de la Creuse qui ont refusé de détourner les yeux. Je salue également la prise de parole courageuse des insoumis de la Creuse, ainsi que le soutien sans faille de nos député·e·s de La France insoumise. Parce qu’on ne peut pas prétendre défendre la République
Encore une fois, des milliers de jeunes se retrouvent sans rien à la rentrée, laissés sur le carreau par Parcoursup, ce logiciel froid et brutal qui trie, classe, élimine, et surtout : reproduit les inégalités de classe. À Saint-Denis, à Pierrefitte, nous avons reçu de nombreux témoignages. Des jeunes motivés, bacheliers, parfois avec mention, mais à qui on dit : « pas de place pour vous ». Pas assez de réseau, pas la bonne adresse, pas la bonne école ? Trop souvent, avoir grandi dans un quartier populaire, ça suffit pour être recalé. Selon une infographie du Monde, 12% des jeunes sont aujourd’hui sans solution
Municipales 2026 : Les 15 & 22 mars, on vote pour notre ville !Ton quartier, ta voix, ton vote. Faisons la différence, ici, à Saint-Denis et Pierrefitte-sur-Seine. À retenir : le vote aura lieu les 15 & 22 mars 2026 Es-tu vraiment inscrit pour voter ?Avant le jour J, assure-toi que ton nom est bien sur les listes électorales !En 2 minutes, vérifie ici ta situation électorale. C’est simple, rapide, et 100 % en ligne.
Ce 1er septembre, ce n’est pas que la rentrée des classes : c’est aussi le début officiel de la précampagne municipale.Dès cette date, les maires sortants n’ont plus le droit de confondre communication municipale et autopromotion personnelle. Les inaugurations à rallonge, les journaux de ville à leur gloire, les réseaux sociaux municipaux transformés en vitrine de campagne ? C’est terminé. Du moins, ça devrait l’être. Pour Mathieu Hanotin (maire de Saint-Denis et président de Plaine Commune) et Pierre-Michel Fourcade (maire délégué de Pierrefitte), la fin de la récré sonne fort : ils ont largement utilisé les outils de Saint-Denis, Pierrefitte, Plaine Commune et Plaine Commune
« Il ne suffit pas de commémorer l’abolition, il faut combattre ce qui la rend toujours inachevée. » Le 23 août marque la Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition, instaurée en 1998 par l’UNESCO.Cette date fait référence à la nuit du 22 au 23 août 1791, à Saint-Domingue (actuelle Haïti), où les esclaves se sont soulevés contre le système esclavagiste colonial français.Cette insurrection a été le point de départ d’une révolution victorieuse, qui aboutira en 1804 à la création de la première République noire indépendante, née de l’abolition arrachée par les esclaves eux-mêmes. Rappel des faits : une entreprise industrielle
Nous ne remettons pas en cause le principe d’un musée du logement populaire. Mais le choix de son implantation au Gai Logis est une faute grave.Dans un département marqué par une crise aiguë du logement, et dans une ville comme Saint-Denis où près de 10 000 demandes de logements sociaux restent non satisfaites, il est immoral, indécent et irresponsable de vouloir encore sacrifier 16 logements sociaux pour accueillir un musée, aussi ambitieux soit-il. Le Gai Logis : un patrimoine vivant, pas un décor de musée Construit en 1936, la résidence du Gai Logis — ou “le Guai Logis”, comme à l’origine — est un symbole
Deux députés de La France insoumise, Aurélien Taché et Ali Dioura, sont aujourd’hui visés par des plaintes pour avoir osé dire une vérité que certains refusent d’entendre : oui, la police tue. Non comme une insulte gratuite envers une profession, mais comme constat d’une réalité tragique et appel politique à la réforme. Une parole qui, au lieu d’être criminalisée, devrait être entendue. Ce que les plaintes veulent faire taire : des faits, pas des slogans En 2023, 52 personnes sont mortes en France lors d’interventions policières. En 2024, ce chiffre est déjà au moins égal, voire supérieur, selon plusieurs observateurs indépendants. Cela représente plus d’un
La France insoumise a pris la décision de ne pas accréditer un journaliste du Monde pour ses Amfis 2025, une université d’été politique et militante. Cette décision, parfaitement assumée, a suscité des cris d’orfraie dans certains cercles médiatiques, accusant LFI de « menacer la liberté de la presse ». Cette accusation est absurde, voire cocasse, et mérite d’être remise en perspective. Ce refus n’est pas une atteinte à la liberté de la presse ! LFI ne demande ni la censure du Monde, ni l’interdiction de publier, ni la suspension du livre La Meute. Le mouvement n’entrave aucunement la diffusion d’informations, aussi critiques soient-elles. Il refuse