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Défense de la Bourse du Travail de Saint Denis

Défendre la Bourse du travail, c’est défendre la démocratie sociale à Saint-Denis comme à Pierrefitte-sur-Seine !

La décision de fermer la Bourse du travail de Saint-Denis du 11 au 24 août 2025 est une erreur grave, sans précédent depuis 40 ans.

Elle représente bien plus qu’une fermeture administrative estivale : elle constitue une entrave directe aux libertés syndicales, au droit à l’organisation, à l’accueil et à la défense des salarié·es, en particulier les plus fragiles, souvent les plus isolés pendant l’été.

Un lieu chargé d’histoire et de luttes :

Créées à la fin du XIXe siècle, les Bourses du travail sont nées de la volonté des travailleurs et travailleuses de disposer de lieux pour se former, s’organiser, s’entraider et résister à l’exploitation. Elles sont devenues des espaces historiques du mouvement ouvrier, des piliers de la démocratie sociale.

À Saint-Denis comme à Pierrefitte-sur-Seine, ces lieux font partie intégrante de notre histoire populaire, tissée de luttes syndicales, de solidarités concrètes et de droits arrachés collectivement.

Les conventions signées entre la Ville et les organisations syndicales reconnaissent cet héritage : elles garantissent un accès permanent aux locaux syndicaux.

Une décision autoritaire et unilatérale

Cette fermeture imposée, sans discussion ni anticipation, porte atteinte à cet héritage démocratique. Elle empêche la tenue de permanences syndicales, bloque l’accès au matériel, et empêche la défense de salarié·es souvent en difficulté en plein mois d’août.

Pire encore, elle impose de manière unilatérale des congés forcés aux agents municipaux, sans transparence ni respect des délais légaux.

Les conflits du travail ne s’arrêtent pas l’été. Le droit syndical non plus.

Un appel à la responsabilité et au respect

J’en appelle au maire de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, à revenir sur cette décision inacceptable, à ouvrir sans délai un dialogue sincère et loyal avec les organisations syndicales, et à cesser cette logique de passage en force contraire aux principes démocratiques.

Dans des villes comme Saint-Denis et Pierrefitte-sur-Seine, ce genre de décision ne passe pas inaperçue. Elle heurte profondément notre attachement collectif à la justice sociale, à la dignité des travailleurs et travailleuses, à la démocratie locale.

Il est encore temps de faire le bon choix : respecter les droits, écouter les organisations syndicales, défendre ce bien commun qu’est la Bourse du travail.

Le 26 juillet 2025

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À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

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Ce qui est certain, est que la doctrine de la macronie n’ayant pas changé, pire avec la présence des 89 députés, il est fort à parier que nous nous acheminons vers la reconduction des mêmes bavures de la République avec le lots de blessés, d’éborgnés. Laurent Nunez Officiel sera à t’il à la hauteur de l’enjeu ? Il y a une forte attente d’une autre politique de sécurité publique au niveau national. La reconduction des pratiques indignes serait impardonnable.

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Pour toutes ces raisons, la recherche de solutions politiques, administratives, financières, dans de nouveaux locaux ; mais aussi humanistes, reste essentielle. Ici il n’est pas question de mettre en cause directement la SEM Plaine Commune dans son objet, ni dans sa volonté de tenir des échéances de livraison d’un programme ; mais d’agir pour que la ville et plaine commune se positionnent en responsabilité pour aider à une sortie par le haut en associant tous les partenaires potentiels, dans une échéance responsable. Car la réponse est politique.

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« Alors que l’on fête cette année les 50 ans de la loi du 1er juillet 1972, dite « loi Pleven », qui a créé les délits spécifiques d’injure et de diffamation à caractère raciste ainsi que la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, force est de constater que les discours stigmatisants aux relents racistes et xénophobes n’ont pas disparu de l’espace public et médiatique.

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