L’Éducation, un droit pour tous : stop aux fermetures de classes !

La France Insoumise de Saint-Denis/Pierrefitte apporte son soutien indéfectible à la FCPE 93 et à son constat alarmant concernant l’éducation dans notre département. Le texte présenté lors du Conseil départemental de l’Éducation nationale (CDEN) du 10 février 2025 à Bobigny ne reflète pas seulement la réalité vécue par des milliers de familles en Seine-Saint-Denis, mais souligne aussi l’urgence d’une réaction face à la dégradation continue du service public d’éducation.

Le constat dressé par la FCPE 93 est accablant. Chaque année, des décisions sont prises sans tenir compte des besoins réels des élèves, et sans aucune concertation significative avec les parents. Ces décisions, motivées par des considérations budgétaires à court terme, se font au détriment de la qualité de l’éducation et de la cohésion sociale. La sectorisation, l’allongement des trajets domicile-école, les absences non remplacées, les fermetures de classes, ainsi que les difficultés d’inclusion sont autant de problématiques qui auront des conséquences dramatiques sur l’avenir de nos enfants.

Le manque de moyens dans les établissements scolaires, la dégradation des conditions d’enseignement, et la persistance d’une éducation à deux vitesses, avec des inégalités flagrantes entre les écoles et les territoires, constituent des injustices que nous ne pouvons plus tolérer. Nos enfants, quelle que soit leur origine ou leur situation sociale, méritent une éducation de qualité. Il est insupportable que, dans un département déjà marqué par la précarité, des milliers de jeunes soient condamnés à une éducation dégradée.

Un des points les plus préoccupants reste l’inclusion des élèves en situation de handicap, alors même que nous célébrons cette année les 20 ans de la loi sur le handicap. Comme le souligne la FCPE 93, vingt ans après cette loi, les parents et les enfants se battent toujours pour que leurs droits soient reconnus. Le manque criant d’AESH et les longues attentes pour une place en IME témoignent d’une défaillance systémique majeure. Les enfants qui devraient bénéficier d’un accompagnement spécifique se retrouvent trop souvent avec seulement quelques heures de scolarisation par semaine, tandis que leurs parents, seuls face à une administration défaillante, ne trouvent aucune solution à leurs problèmes.

Les absences non remplacées constituent également un problème majeur. Si certains établissements ont la chance de disposer d’enseignants stables, d’autres, comme ceux mentionnés dans le texte, sont laissés sans professeurs pendant des semaines, voire des mois. Cette situation prive les élèves de continuité pédagogique et handicape leur avenir, créant une rupture dans leur parcours scolaire.

Enfin, la France Insoumise, s’oppose au risque de fermeture de 273 fermetures de classes dans le premier degré, pour seulement 180 ouvertures. C’est près de 100 classes qui disparaîtront en Seine-Saint-Denis à la rentrée 2025 alors que nous savons que notre département est le plus pauvre de France et que les élèves y perdent en moyenne un an de cours sur toute leur scolarité. Dans ce contexte, moins de classes ne fera qu’aggraver la situation déjà précaire de nos enfants, notamment pour ceux en difficulté scolaire ou en situation de handicap. La logique des économies à court terme ne doit pas se faire au détriment de l’avenir de notre jeunesse.

Nous ne pouvons accepter que l’éducation devienne un luxe réservé à quelques-uns, et non un droit fondamental pour tous. Le système éducatif doit être réformé en profondeur et réinvesti dans les territoires les plus fragiles. C’est là que la solidarité nationale doit se déployer.

Le soutien à la FCPE 93 n’est pas seulement un acte symbolique, mais un appel à l’action. Nous devons agir, pour nos enfants, pour notre avenir, et pour un système éducatif qui donne à chacun les mêmes chances de réussir. La France Insoumise sera au côté des familles, de la FCPE dans l’atteinte de cette ambition.

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp
À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

Il est possible de venir à bout des 1607 heures !

À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

LIRE L'ARTICLE »
Ce qui est certain, est que la doctrine de la macronie n’ayant pas changé, pire avec la présence des 89 députés, il est fort à parier que nous nous acheminons vers la reconduction des mêmes bavures de la République avec le lots de blessés, d’éborgnés. Laurent Nunez Officiel sera à t’il à la hauteur de l’enjeu ? Il y a une forte attente d’une autre politique de sécurité publique au niveau national. La reconduction des pratiques indignes serait impardonnable.

Attention voila Laurent Nunez en remplacement de Lallement !

Ce qui est certain, est que la doctrine de la macronie n’ayant pas changé, pire avec la présence des 89 députés, il est fort à parier que nous nous acheminons vers la reconduction des mêmes bavures de la République avec le lots de blessés, d’éborgnés. Laurent Nunez Officiel sera à t’il à la hauteur de l’enjeu ? Il y a une forte attente d’une autre politique de sécurité publique au niveau national. La reconduction des pratiques indignes serait impardonnable.

LIRE L'ARTICLE »
Pour toutes ces raisons, la recherche de solutions politiques, administratives, financières, dans de nouveaux locaux ; mais aussi humanistes, reste essentielle. Ici il n’est pas question de mettre en cause directement la SEM Plaine Commune dans son objet, ni dans sa volonté de tenir des échéances de livraison d’un programme ; mais d’agir pour que la ville et plaine commune se positionnent en responsabilité pour aider à une sortie par le haut en associant tous les partenaires potentiels, dans une échéance responsable. Car la réponse est politique.

Sauvons l’association Mamama et ses activités !

Pour toutes ces raisons, la recherche de solutions politiques, administratives, financières, dans de nouveaux locaux ; mais aussi humanistes, reste essentielle. Ici il n’est pas question de mettre en cause directement la SEM Plaine Commune dans son objet, ni dans sa volonté de tenir des échéances de livraison d’un programme ; mais d’agir pour que la ville et plaine commune se positionnent en responsabilité pour aider à une sortie par le haut en associant tous les partenaires potentiels, dans une échéance responsable. Car la réponse est politique.

LIRE L'ARTICLE »
« Alors que l’on fête cette année les 50 ans de la loi du 1er juillet 1972, dite « loi Pleven », qui a créé les délits spécifiques d’injure et de diffamation à caractère raciste ainsi que la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, force est de constater que les discours stigmatisants aux relents racistes et xénophobes n’ont pas disparu de l’espace public et médiatique.

Ce mandat présidentiel qui commence, risque d’être une lessiveuse pour renforcer l’acceptabilité politique et démocratique du parti raciste ?

« Alors que l’on fête cette année les 50 ans de la loi du 1er juillet 1972, dite « loi Pleven », qui a créé les délits spécifiques d’injure et de diffamation à caractère raciste ainsi que la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, force est de constater que les discours stigmatisants aux relents racistes et xénophobes n’ont pas disparu de l’espace public et médiatique.

LIRE L'ARTICLE »

Donnez vous le pouvoir de décider pour les élections présidentielles 2022 !

 En 2017, le candidat de la @FranceInsoumise Jean-Luc Mélenchon était à seulement 1,72 point de se qualifier au second tour. L’abstention était de 22,23%. Un niveau toujours aussi dur et difficile pour la démocratie. Oui nous avons et savons les motifs principaux qui motivent une certaine abstention. Alors que d’autres mouvements ou partis politiques ont renoncé à agir contre l’abstention par intérêt; le mouvement de l’@UnionPopulaire fait de la question de l’abstention un enjeu premier avec des propositions programmatiques fortes, comme la possibilité de révoquer les élu.e.s en cas de désaccord du peuple. Battons nous dans nos quartiers , nos villages, nos villes pour convaincre les abstentionnistes,

LIRE L'ARTICLE »