Les bus en centre-ville : de bien modestes et insuffisantes avancées !

La France Insoumise tient tout d’abord à saluer la combativité du Collectif Bus, qui lutte depuis deux
ans sans relâche pour le rétablissement du passage en centre-ville de Saint-Denis des bus 153, 253 et

La suppression de ces lignes, décidée de manière autoritaire et sans aucune concertation avec la
population par Mathieu Hanotin au nom de « l’apaisement du centre-ville », a profondément impacté les habitants.

Dès le 28 février 2023, La France Insoumise de Saint-Denis a exprimé son soutien à cette
mobilisation citoyenne, qui a recueilli 5 600 signatures. Ce soutien a été renouvelé le 24 juillet 2024.
Cependant, une seule rencontre officielle avec Katy Bontinck, 1ère adjointe, a eu lieu en deux ans !
Enfin, le 12 février 2025, le Collectif a été reçu par le directeur de cabinet du maire, qui l’a informé
des nouveaux trajets décidés entre la Ville et Île-de-France Mobilités pour les lignes 153 et 239. Ces
nouveaux trajets devraient rapprocher les bus du centre-ville, avec un arrêt à la CAF et au lycée Paul-Eluard pour le 153, et un arrêt place Robert-de-Cotte pour le 239. En revanche, rien n’a été prévu pour le 253. Une nouvelle réunion entre la Ville, la RATP, Île-de-France Mobilités et le Collectif a été annoncée pour le mois de mars, ce que le Collectif réclame depuis plusieurs mois !

Cependant, dès le 13 février, la Ville est revenue sur les informations concernant le 239, prétextant une erreur. La nouvelle version prévoit finalement que le rapprochement du centre-ville n’atteindra que la place de la Résistance !

Amateurisme ? Enfumage ? Ou les deux ?

Quel mépris de la part de cette municipalité pour les habitants, qui se voient empêchés de se déplacer librement dans les quartiers de la ville. Et ce n’est certainement pas la navette, véritable fiasco, qui peut compenser l’absence de bus. Ce résultat est le fruit de la politique municipale menée depuis quatre ans par Mathieu Hanotin, qui, en gentrifiant le centre-ville, exclut de plus en plus les habitants des quartiers périphériques, les personnes âgées et celles en situation de handicap. Une ville touristique, un centre piéton apaisé, réservé à une élite et protégé des quartiers populaires : voilà le projet de ville de Mathieu Hanotin !

Quant à la question écologique, un défi essentiel dont le maire se gargarise dans ses communications, ce ne sont que des mots. Quel maire responsable et soucieux de l’environnement décide à la fois de supprimer les voitures et les transports publics dans le centre-ville ? Aucun, sauf Mathieu Hanotin !

À ce stade, nous demandons au maire de se ressaisir et de chercher, avec les habitants, des solutions pour rapprocher les bus du centre-ville. Pour nous, Insoumis·es de Saint-Denis, nous continuerons à agir avec les habitants, nos élu·es à la Région Île-de-France et le Collectif pour le retour des bus en centre-ville.

En 2026, avec les habitants, nous mettrons tout en œuvre pour que le service public des bus retrouve sa mission de garant de l’égalité territoriale dans tous les quartiers de la ville, pour les Dionysien·nes et les Pierrefittoises.

Le 21 février 2025

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    L’autre #14Juillet 1953 à Paris, la police tire à balles réelles sur le cortège du #PCF, de la CGT et des indépendantistes algériens du MTLD et fait 7 manifestants assassinés. Place des Fêtes. À la mémoire des victimes, une affiche prise par un correspondant de L’Humanité.

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    Deux amendements justes, qui permettaient d’engager sérieusement le rattrapage nécessaire des transferts de charge de l’Etat vers les collectivités locales sans jamais que la promesse de compensation à l’euro soit respectée par le même État. Une bataille menée depuis de nombreuses années alors que j’étais sur les bancs du conseil départemental de Seine Saint Denis.

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    L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis et de gager les moyens financiers importants consacrés à cette candidature. Si cette situation advenait, le maire, président de Plaine Commune, le président du conseil départemental et sa majorité devront en assumer les conséquences et en porter toute la responsabilité.

    L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis !

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    À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

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