Bally Bagayoko - LFI Saint Denis - Accréditation Amfis 2025

Liberté de la presse ou liberté de discrédit ? Pourquoi LFI assume le refus d’accréditation au journaliste du Monde

La France insoumise a pris la décision de ne pas accréditer un journaliste du Monde pour ses Amfis 2025, une université d’été politique et militante. Cette décision, parfaitement assumée, a suscité des cris d’orfraie dans certains cercles médiatiques, accusant LFI de « menacer la liberté de la presse ». Cette accusation est absurde, voire cocasse, et mérite d’être remise en perspective.

Ce refus n’est pas une atteinte à la liberté de la presse !

LFI ne demande ni la censure du Monde, ni l’interdiction de publier, ni la suspension du livre La Meute. Le mouvement n’entrave aucunement la diffusion d’informations, aussi critiques soient-elles. Il refuse simplement d’accorder un accès privilégié — via une accréditation — à un journaliste dont l’objectivité est, à juste titre, mise en cause.
Refuser une accréditation n’est ni inédit, ni illégal, ni antidémocratique. Des médias sont régulièrement exclus de certains événements par différents partis ou institutions — sans que cela n’émeuve les défenseurs soudains de la « liberté de la presse ». LFI ne fait donc qu’user de ce droit, de manière transparente et politique.

Un journaliste contesté pour des raisons précises !

Le journaliste en question a co-écrit La Meute, un ouvrage à charge, qui compile de nombreuses inexactitudes, approximations, atteintes à la vie privée et un traitement caricatural du mouvement. Ce livre ne relève pas d’une enquête équilibrée, mais plutôt d’un acte militant — ou d’une opération politique maquillée en journalisme.
Dans ce contexte, pourquoi LFI devrait-elle offrir une tribune, un accès, une reconnaissance implicite à un auteur dont la démarche est précisément de délégitimer le mouvement ?

Le Monde : une provocation délibérée ?

Ce qui étonne, et interroge, c’est que la direction du Monde — journal disposant d’une rédaction riche de nombreux journalistes compétents — n’a pas jugé utile d’envoyer un autre reporter. Elle a maintenu comme représentant celui dont les écrits sont directement mis en cause. Ce choix n’a rien d’innocent : il ressemble à une provocation calculée, voire une tentative d’ouvrir un faux procès en censure.
En insistant pour envoyer ce journaliste, le Monde savait très bien qu’il risquait un refus. Cela lui permettait d’alimenter un récit commode : celui d’un mouvement hostile à la presse. On est donc en droit de se demander : qui instrumentalise quoi ?

Une vraie réflexion sur le pluralisme

Ce débat révèle en creux une réalité dérangeante : le journalisme dominant peine à accepter d’être contesté. Toute remise en cause de sa neutralité est perçue comme une agression, quand bien même ces médias appartiennent à de grandes fortunes, qu’ils orientent l’agenda politique, qu’ils pratiquent la sélection partisane de ce qui mérite d’être dénoncé ou non.
Le pluralisme ne signifie pas la soumission à des médias hégémoniques, encore moins l’obligation de leur ouvrir les portes sans discernement. Il signifie aussi le droit des forces politiques à poser des limites, à se défendre face aux attaques déguisées en enquêtes, à refuser les règles d’un jeu truqué.

Une décision politique légitime, un débat révélateur !

LFI assume une décision politique, lucide, non-violente et ciblée. Elle ne remet pas en cause la liberté de la presse ; elle interpelle sur le rôle réel de certains journalistes et sur la capacité des grands médias à se remettre en question.
Dans cette affaire, le plus inquiétant n’est pas le refus d’accréditation. Ce serait plutôt que seule une vision univoque, hostile à LFI, soit légitime dans le débat public — et que le simple fait de dire non devienne, en soi, un scandale.

Le 22 août 2025

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp
À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

Il est possible de venir à bout des 1607 heures !

À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

LIRE L'ARTICLE »
Ce qui est certain, est que la doctrine de la macronie n’ayant pas changé, pire avec la présence des 89 députés, il est fort à parier que nous nous acheminons vers la reconduction des mêmes bavures de la République avec le lots de blessés, d’éborgnés. Laurent Nunez Officiel sera à t’il à la hauteur de l’enjeu ? Il y a une forte attente d’une autre politique de sécurité publique au niveau national. La reconduction des pratiques indignes serait impardonnable.

Attention voila Laurent Nunez en remplacement de Lallement !

Ce qui est certain, est que la doctrine de la macronie n’ayant pas changé, pire avec la présence des 89 députés, il est fort à parier que nous nous acheminons vers la reconduction des mêmes bavures de la République avec le lots de blessés, d’éborgnés. Laurent Nunez Officiel sera à t’il à la hauteur de l’enjeu ? Il y a une forte attente d’une autre politique de sécurité publique au niveau national. La reconduction des pratiques indignes serait impardonnable.

LIRE L'ARTICLE »
Pour toutes ces raisons, la recherche de solutions politiques, administratives, financières, dans de nouveaux locaux ; mais aussi humanistes, reste essentielle. Ici il n’est pas question de mettre en cause directement la SEM Plaine Commune dans son objet, ni dans sa volonté de tenir des échéances de livraison d’un programme ; mais d’agir pour que la ville et plaine commune se positionnent en responsabilité pour aider à une sortie par le haut en associant tous les partenaires potentiels, dans une échéance responsable. Car la réponse est politique.

Sauvons l’association Mamama et ses activités !

Pour toutes ces raisons, la recherche de solutions politiques, administratives, financières, dans de nouveaux locaux ; mais aussi humanistes, reste essentielle. Ici il n’est pas question de mettre en cause directement la SEM Plaine Commune dans son objet, ni dans sa volonté de tenir des échéances de livraison d’un programme ; mais d’agir pour que la ville et plaine commune se positionnent en responsabilité pour aider à une sortie par le haut en associant tous les partenaires potentiels, dans une échéance responsable. Car la réponse est politique.

LIRE L'ARTICLE »
« Alors que l’on fête cette année les 50 ans de la loi du 1er juillet 1972, dite « loi Pleven », qui a créé les délits spécifiques d’injure et de diffamation à caractère raciste ainsi que la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, force est de constater que les discours stigmatisants aux relents racistes et xénophobes n’ont pas disparu de l’espace public et médiatique.

Ce mandat présidentiel qui commence, risque d’être une lessiveuse pour renforcer l’acceptabilité politique et démocratique du parti raciste ?

« Alors que l’on fête cette année les 50 ans de la loi du 1er juillet 1972, dite « loi Pleven », qui a créé les délits spécifiques d’injure et de diffamation à caractère raciste ainsi que la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, force est de constater que les discours stigmatisants aux relents racistes et xénophobes n’ont pas disparu de l’espace public et médiatique.

LIRE L'ARTICLE »

Donnez vous le pouvoir de décider pour les élections présidentielles 2022 !

 En 2017, le candidat de la @FranceInsoumise Jean-Luc Mélenchon était à seulement 1,72 point de se qualifier au second tour. L’abstention était de 22,23%. Un niveau toujours aussi dur et difficile pour la démocratie. Oui nous avons et savons les motifs principaux qui motivent une certaine abstention. Alors que d’autres mouvements ou partis politiques ont renoncé à agir contre l’abstention par intérêt; le mouvement de l’@UnionPopulaire fait de la question de l’abstention un enjeu premier avec des propositions programmatiques fortes, comme la possibilité de révoquer les élu.e.s en cas de désaccord du peuple. Battons nous dans nos quartiers , nos villages, nos villes pour convaincre les abstentionnistes,

LIRE L'ARTICLE »