On nous ment sur la TVA. On nous fait croire que l’argent manque pour l’école, l’hôpital, les retraites… alors qu’on détourne volontairement les fonds vers le privé.
Avant 2017, la TVA – que tout le monde paie, même les plus pauvres – finançait à plus de 90 % les services publics. C’était la base du pacte républicain : chacun contribue, et en retour, on a accès à la santé, à l’éducation, à la solidarité.
Depuis Macron, ce n’est plus vrai. En 2024, moins de 46 % de la TVA finance l’État. Le reste ? Il part compenser les cadeaux faits aux entreprises, sous forme d’exonérations de cotisations patronales.
Traduction claire : on vous prend de l’argent chaque jour pour le donner au patronat.
Et pendant ce temps-là :
- Bernard Arnault annonce 19 milliards d’euros de bénéfices en une journée.
- L’État verse 270 milliards d’euros par an en aides publiques aux entreprises, sans aucun contrôle.
- Le taux de pauvreté atteint un record depuis 30 ans : près de 10 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté.
C’est ça, le vrai scandale. C’est ça, le vrai braquage.
Ce n’est pas un “modèle social trop coûteux”, comme on essaie de nous le faire croire à longueur d’antenne. C’est un modèle économique qui appauvrit les classes moyennes et populaires pour engraisser les ultra-riches.
Et pendant que les grands médias vous parlent de “fin de l’abondance”, de “dette publique” ou de “rigueur nécessaire”, ils oublient de vous dire que :
- l’argent est là, mais qu’il a changé de destination.
- chaque euro de TVA que vous payez ne va plus à l’école, mais aux actionnaires.
Il est temps de regarder la vérité en face :
Ce n’est pas la pauvreté qui coûte cher, c’est la richesse excessive.
Ce n’est pas le peuple qui vit au-dessus de ses moyens, c’est l’oligarchie qui vit sur son dos.
Réveillons-nous. La justice fiscale, ce n’est pas un rêve lointain. C’est une urgence.
Faites tourner. Éveillez les consciences. Ouvrons les yeux sur la violence sociale organisée.
Le 18 octobre 2025