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Rattrapage électoral : les habitant·e·s avaient raison, le maire récidiviste avait tort !

Rattrapage électoral : les habitant·e·s avaient raison, le maire récidiviste avait tort !
Les récentes annonces sur le réseau de bus – prolongement de la ligne 239, création de la ligne 240, navette gratuite – confirment une évidence :

La population avait raison, et l’exécutif municipal avait tort.
Mais aucune de ces annonces n’est marquée par un mot d’honnêteté :

Aucune reconnaissance d’erreur.

Aucune excuse.

Aucune autocritique.
Et pour cause : il n’y a aucune sincérité dans cette agitation soudaine.
Le maire, isolé, contesté et affaibli, s’agite dans la panique électorale, croyant pouvoir faire oublier son bilan catastrophique, dénoncé de toutes parts :

par la jeunesse,
par les habitant·e·s,
par les agent·e·s de Plaine Commune,
par les Dionysien·ne·s et Pierrefittois·es.

Un maire rejeté… et une colère légitime !
La vérité est là : le rejet de cette politique municipale est massif et profond.
Le pouvoir local est désormais désavoué, isolé, et totalement déconnecté des réalités vécues sur le terrain.
Ce n’est pas une ligne de bus ou une navette gratuite qui effacera :
• Les fermetures d’espaces jeunesse,
• Les baisses de subventions aux associations culturelles, sportives et citoyennes,
• Le mépris répété envers les personnels municipaux et intercommunaux,
• La réduction de la production de logements publics de 40 % à 25 %,
• L’augmentation de 15 % des loyers,
• Le silence assourdissant face aux rixes dans les quartiers,
• Le tout-sécuritaire inefficace, qui n’a rien réglé,
• La suppression des médiateurs de nuit,
• La réduction de l’offre de prévention et de médiation,
• L’absence de concertation réelle sur les projets ANRU,
• Le refus récurrent de recevoir les habitant·es en audience.

Une victoire populaire… mais incomplète
Les récentes annonces ne sont pas le fruit d’une écoute sincère, mais le résultat d’une pression populaire constante.
Elles doivent tout au travail du Collectif Bus, aux habitants mobilisés, aux Insoumis engagés depuis le début du mandat.
Mais elles ne marquent aucun changement de cap, aucune rupture avec les politiques rejetées. Ce sont des mesures isolées, précipitées, prises sans concertation et à quelques mois des élections municipales.

Les habitant·e·s ne sont pas naïfs.
Ils savent que ces gestes ne sont qu’une diversion temporaire, dictée par la peur du rejet dans les urnes, et non par le souci de bien faire.

Les Insoumis : acteurs des luttes, porteurs d’une alternative
Depuis 2020, les élu·es et militant·es de La France Insoumise à Saint-Denis et Pierrefitte ont été de tous les combats :
• pour les transports accessibles,
• pour la dignité des services publics,
• pour les droits des jeunes,
• pour des logements dignes,
• pour des politiques sociales cohérentes et humaines.
Nous avons été aux côtés des habitant·es, et nous continuerons à l’être.

En 2026 : changer de cap, pour de bon
Nous appelons à un large rassemblement citoyen, populaire, politique, de gauche et écologiste, pour :

Mettre un terme à cette gestion brutale et inefficace,

Restaurer la parole des habitant·es,

Défendre nos quartiers, notre jeunesse, nos agent·es,

Redonner un cap clair à Saint-Denis et Pierrefitte : populaire, démocratique, solidaire, écologique.

Nous le disons sans détour :

Ces petites gesticulations ne feront pas oublier les grandes erreurs.

Nous allons y mettre un terme. Pour de bon.

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À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

Il est possible de venir à bout des 1607 heures !

À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

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Ce qui est certain, est que la doctrine de la macronie n’ayant pas changé, pire avec la présence des 89 députés, il est fort à parier que nous nous acheminons vers la reconduction des mêmes bavures de la République avec le lots de blessés, d’éborgnés. Laurent Nunez Officiel sera à t’il à la hauteur de l’enjeu ? Il y a une forte attente d’une autre politique de sécurité publique au niveau national. La reconduction des pratiques indignes serait impardonnable.

Attention voila Laurent Nunez en remplacement de Lallement !

Ce qui est certain, est que la doctrine de la macronie n’ayant pas changé, pire avec la présence des 89 députés, il est fort à parier que nous nous acheminons vers la reconduction des mêmes bavures de la République avec le lots de blessés, d’éborgnés. Laurent Nunez Officiel sera à t’il à la hauteur de l’enjeu ? Il y a une forte attente d’une autre politique de sécurité publique au niveau national. La reconduction des pratiques indignes serait impardonnable.

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Pour toutes ces raisons, la recherche de solutions politiques, administratives, financières, dans de nouveaux locaux ; mais aussi humanistes, reste essentielle. Ici il n’est pas question de mettre en cause directement la SEM Plaine Commune dans son objet, ni dans sa volonté de tenir des échéances de livraison d’un programme ; mais d’agir pour que la ville et plaine commune se positionnent en responsabilité pour aider à une sortie par le haut en associant tous les partenaires potentiels, dans une échéance responsable. Car la réponse est politique.

Sauvons l’association Mamama et ses activités !

Pour toutes ces raisons, la recherche de solutions politiques, administratives, financières, dans de nouveaux locaux ; mais aussi humanistes, reste essentielle. Ici il n’est pas question de mettre en cause directement la SEM Plaine Commune dans son objet, ni dans sa volonté de tenir des échéances de livraison d’un programme ; mais d’agir pour que la ville et plaine commune se positionnent en responsabilité pour aider à une sortie par le haut en associant tous les partenaires potentiels, dans une échéance responsable. Car la réponse est politique.

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« Alors que l’on fête cette année les 50 ans de la loi du 1er juillet 1972, dite « loi Pleven », qui a créé les délits spécifiques d’injure et de diffamation à caractère raciste ainsi que la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, force est de constater que les discours stigmatisants aux relents racistes et xénophobes n’ont pas disparu de l’espace public et médiatique.

Ce mandat présidentiel qui commence, risque d’être une lessiveuse pour renforcer l’acceptabilité politique et démocratique du parti raciste ?

« Alors que l’on fête cette année les 50 ans de la loi du 1er juillet 1972, dite « loi Pleven », qui a créé les délits spécifiques d’injure et de diffamation à caractère raciste ainsi que la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, force est de constater que les discours stigmatisants aux relents racistes et xénophobes n’ont pas disparu de l’espace public et médiatique.

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