Sport : « Développement du Padel, un projet intéressant pour notre ville, qui élargit l’offre pour le public » Bally BAGAYOKO

Ce sport de raquettes connaît un engouement de plus en plus fort dans le pays. Avec douze courts, un équipement totalement inédit en France ouvre dans la ville.

Le premier du département. Le plus grand de France. Un centre de padel indoor inédit ouvre ses portes ce vendredi à Saint-Denis. L’occasion de découvrir ce sport de raquettes venu d’Espagne, sorte de synthèse entre le tennis et le squash.

Sur un terrain en synthétique un peu plus petit qu’un court de tennis entouré de grillages et de vitres, quatre joueurs équipés de raquettes raccourcies s’affrontent en double et utilisent les parois sur lesquelles la balle -sous-gonflée- peut rebondir avant d’être jouée.

« C’est un sport très accessible, très ludique, insiste David Carmona, l’un des responsables de Casa Padel. Il emprunte au squash et au tennis mais, techniquement et physiquement, il est moins violent et exigeant. En dix minutes, on en maîtrise les rudiments et on peut se faire plaisir. »

Dès ce vendredi, le public pourra découvrir les douze courts installés dans des anciens hangars de la rue Charles-Michels, sur des créneaux de 45 ou 90 minutes. Le public visé ? En premier lieu, les dizaines de milliers de salariés qui travaillent dans le secteur. Un réservoir de pratiquants potentiels qui s’élève à 250000 personnes dans un rayon de 1,5 km selon les calculs de Casa Padel. Sans compter que l’Ile-de-France compte seulement deux autres centres de padel, l’un à Bois-d’Arcy (Yvelines) et l’autre à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne).

« C’est un projet intéressant pour notre ville, qui élargit l’offre pour le public, souligne Bally Bagayoko, adjoint au maire de Saint-Denis chargé des sports. Nous démontrons qu’on peut accueillir ici une activité sportive innovante. C’est important en termes d’images. »

Outre les employés du secteur ou les pratiquants de padel venus de l’extérieur, l’élu espère que les habitants de Saint-Denis vont également s’y mettre. « La ville et Casa Padel envisagent des partenariats et des conventions, par exemple avec l’école municipale des sports. Nous sensibiliserons aussi nos éducateurs municipaux et nous ferons le lien avec l’Education nationale afin que les scolaires puissent profiter de cette infrastructure. »

De son côté, Casa Padel a planifié un stage de découverte durant le mois de juillet. A la rentrée, le club sera présent au forum des associations pour présenter aux familles l’école de padel qui démarrera en septembre, avec des professeurs agréés pouvant accueillir les enfants.

Casa Padel, 103, rue Charles-Michels à Saint-Denis. Ouvert de 10heures à 23heures en semaine, de 9heures à 22heures les week-ends et jours fériés. Tarif (équipement fourni) : de 6,50€ à 13€ les 45mn (heures creuses) ; de 9,50€ à 19€ les 90mn (heures pleines). ½ heure de découverte gratuite.

  leparisien.fr

http://www.leparisien.fr/saint-denis-93200/et-si-saint-denis-devenait-la-capitale-du-padel-29-06-2017-7099011.php

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp
Bally Bagayoko - LFI - Saint Denis - Pierrefitte - Grand froid

Grand froid : l’urgence sociale ne peut plus être saisonnière !

Le préfet de la Seine-Saint-Denis vient de prendre la décision d’activer le Plan Grand Froid. Concrètement, cette activation signifie que l’État déclenche un niveau d’alerte renforcé face aux conditions climatiques : ouverture de places d’hébergement supplémentaires, mobilisation de nouveaux sites, renforcement des maraudes et élargissement des dispositifs d’urgence afin de mieux protéger les personnes les plus exposées au froid. Au sein de la commune nouvelle de Saint-Denis / Pierrefitte-sur-Seine, la

LIRE L'ARTICLE »
Bally Bagayoko - LFI - Saint Denis - Pierrefitte - Gouter

Le Goûter : un levier concret pour l’égalité et le bien-être des enfants !

C’est à partir de discussions avec des parents et des professionnels de l’animation que j’ai pris le temps de regarder de plus près une réalité du quotidien, souvent banalisée, mais pourtant essentielle : le moment du goûter pour les enfants en élémentaire. Ces échanges m’ont permis de mettre des mots sur ce que beaucoup vivent sur le terrain. Le goûter, qu’il se déroule à l’étude ou à l’accueil de loisirs

LIRE L'ARTICLE »
Bally Bagayoko - LFI - Saint Denis - Pierrefitte - Arenas

Rodrigo Arenas siège désormais au Conseil Supérieur des Programmes : quand l’école du terrain entre enfin dans les instances nationales !

Félicitations à Arenas Rodrigo pour sa nomination au Conseil supérieur des programmes. Cette nomination vient reconnaître un engagement de longue date pour l’école publique, les quartiers populaires et la réussite de chaque élève. Il a été à nos côtés dans toutes les luttes pour la dignité et pour le droit à l’éducation, en particulier dans les quartiers populaires. Dans les moments les plus difficiles — notamment face à l’islamophobie rampante

LIRE L'ARTICLE »
Bally Bagayoko - LFI - Saint Denis - Pierrefitte - Bardot

Bardot s’en est allée : Mémoire partagée mais aucun oubli !

Brigitte Bardot s’est éteinte à l’âge de 91 ans. Elle a traversé des époques et marqué des générations. Je ne célèbre pas sa disparition : rester fidèle à nos valeurs signifie aussi les appliquer aux vies qui s’achèvent. Qu’elle repose en paix, néanmoins. Elle a été une artiste qui a marqué le cinéma et la culture populaire, une icône de son temps. Elle a également été une militante pour la

LIRE L'ARTICLE »
Bally Bagayoko - LFI - Saint Denis - Sarthe - Profanation

Sarthe : condamnation ferme après la profanation d’une stèle de la Résistance !

La profanation d’une stèle honorant des résistants par des tags nazis dans la Sarthe constitue un acte d’une extrême gravité. Il ne s’agit pas d’une simple dégradation matérielle, mais d’une insulte à la mémoire de celles et ceux qui ont combattu l’oppression, le racisme et la barbarie nazie au péril de leur vie. En s’attaquant à un lieu de recueillement et de transmission, les auteurs cherchent à banaliser une idéologie

LIRE L'ARTICLE »
Bally Bagayoko - LFI - Saint Denis - Guerre

Quand le pouvoir parle de “perdre nos enfants”, ce sont toujours les mêmes qu’il envoie en première ligne !

Ces derniers jours, une phrase a choqué beaucoup de monde : le chef d’état-major des armées a expliqué qu’il faudrait accepter de « perdre nos enfants » en cas de guerre. Une phrase lourde de sens. Et surtout, une phrase qui n’est pas tombée de nulle part. Plutôt que de désavouer ces propos, Emmanuel Macron a poursuivi dans la même direction en annonçant la mise en place d’un service militaire

LIRE L'ARTICLE »