[# Stop aux gaspillages alimentaires à l’heure où de nombreuses familles, personnes peinent à se nourrir à leur faim..Bally BAGAYOKO]

[# Stop aux gaspillages alimentaires à l’heure où de nombreuses familles, personnes peinent à se nourrir à leur faim. Allocution de Béatrice Geyres pour le Groupe Rêve Insoumis sur un excellent rapport présenté par notre collègue Zohra Henni Maire Adjointe en charge de l’enseignement secondaire, que l’ensemble de l’assemblée municipale a salué. Bally Bagayoko

 

« Je vais profiter de ce rapport pour rappeler que le gaspillage alimentaire est une hérésie économique, environnementale et surtout, sociale. Aujourd’hui entre 30 et 50 % de l’alimentation est gaspillée dans le monde, alors que plus de 800 millions de personnes souffrent de la faim.

La lutte contre le gaspillage alimentaire poursuit 2 objectifs majeurs :

Celui de nourrir, de nourrir bien, les personnes les plus fragiles, les plus exclues. Lutter contre le gaspillage, c’est d’abord aider les structures qui permettent aux personnes en difficultés de s’alimenter en respectant leur dignité.

Mais c’est aussi trouver des solutions multiples et diverses pour permettre le réemploi et la revalorisation économique de la nourriture non consommable, en énergie (méthane ou compost de qualité), ou, le cas échéant, en nourriture pour animaux. C’est en cherchant des solutions pour chaque kilo de nourriture gaspillée que nous pourrons nous placer durablement dans une logique zéro déchet.

C’est toute l’ambition de la loi Garot du 11 février 2016 relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire.

La Ville de saint Denis a su s’attaquer, au cours de ces dernières années, au problème du gaspillage alimentaire et dans ce cadre, plusieurs initiatives ambitieuses ont eu cours pendant ce mandat. On peut citer :

– L’amélioration constante de la qualité nutritive des menus servis et même différenciée pour les tout-petits….
– La mise en place d’actions de sensibilisation sur l’alimentation auprès des enfants dans les écoles à travers des activités ( visites de la cuisine centrale, écoparlement des écoliers, mise en place du programme « un fruit pour la récré)….
– Le Renforcement de la logique bas carbone avec l’accroissement des produits bio, locaux, issus de filières courtes et la réduction de la part des protéines animales dans les repas servis.
– La Réduction de l’utilisation de la vaisselle jetable.

Et ce soir, L’évaluation du gaspillage alimentaire , suite aux conclusions de l’étude menée dans 4 écoles de la ville, peut permettre de faire appel à un prestataire extérieur pour la redistribution des repas non consommés dans les écoles afin de pallier aux manques de moyens logistiques des associations caritatives. C’est donc une action qui s’ajoute aux 1000 repas par mois donnés à des sans domicile-fixe. Nous pouvons que nous en féliciter, voter favorablement, remercier les services pour mettre en acte nos ambitions et continuer à accompagner notre territoire sur la trajectoire du zéro déchet.

Enfin j’en profite pour vous signaler qu’un atelier « Agir local : engager les collectivités vers la transition environnementale et sociale” aura lieu ce samedi 30 septembre au village des initiatives Alternatiba qui se tiendra sur la place Stalingrad. Nos enfants nous remercierons. Merci de votre attention ».

Béatrice Geyre
Groupe Rêve Insoumis
Conseillère municipale

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp
Bally BAGAYOKO Europacity : Avis défavorable du commissaire enquêteur à la révision du PLU !

Europacity : Avis défavorable du commissaire enquêteur à la révision du PLU !

Communiqué de presse
Europacity : Après l’avis très défavorable du commissaire enquêteur à la révision du Plan Local d’urbanisme (PLU) de la ville de Gonesse, une seule solution abandonner ce projet démentiel !.
Les élu-es du groupe REVE-insoumis saluent cette bonne nouvelle.

Le commissaire enquêteur vient de rendre son rapport et son avis est très défavorable. Sans surprise ce projet d’aménagement du Triangle de Gonesse est peu compatible avec la notion de développement durable, va à l’encontre de la politique contre le réchauffement climatique.

De plus les créations d’emplois annoncées pourraient se faire au détriment des activités présentes sur les territoires voisins, ajoutant que les objectifs en matière d’emplois sont peu en phase avec le niveau de formation local.

Cependant cet avis n’est que consultatif et la mairie (de Gonesse) risque fort de ne pas en cause la mise en place de ce projet d’un autre temps. Comme le rappelle la mairie de Gonesse: « La décision appartient aux élus».

Aux saigneurs de terres nous préférons les soigneurs de terres ainsi nous soutenons le projet du groupement de Coopération pour une Ambition et Métropolitaine Agricole (CARMA) qui créerait des emplois durables et non-delocalisables grace à l’agro-ecologie et à la redéfinition des circuits de production et de consommation tout en luttant contre le mitage des terres agricoles.

Pour nous ce projet sera toujours mauvais et inutile, 1,7 milliards d’euros seraient dépensés pour un énième centre commercial « au détriment des activités présentes sur les territoires voisins ».Et alors que l’autonomie alimentaire de nos villes est menacé à échéance d’une dizaine d’années.

De nombreux centres commerciaux, y compris en Ile-de-France (Millénaire, Domus, etc. ) peinent à trouver leur équilibre économique. Le modèle de faire société, de « vivre ensemble » hyper consumériste est fortement critiquable.
Il y a mieux à faire. La lutte continue pour préserver ces terres agricoles et aménager autrement le nord francilien.

LIRE L'ARTICLE »
Cela montre l’attente forte pour une démarche affirmée de défense des classes populaires ajustée à notre époque, un projet politique novateur qui se définit lui-même ainsi : « Nous sommes un collectif citoyen soutenu par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et conduite par Bally Bagayoko. Notre projet, pour les élections municipales, est ouvert à toutes celles et tous ceux qui veulent le changement par et pour les habitant-es.

Elections municipales : Lettre ouverte des élu.es Insoumis de la majorité de Saint-Denis !

Cela montre l’attente forte pour une démarche affirmée de défense des classes populaires ajustée à notre époque, un projet politique novateur qui se définit lui-même ainsi : « Nous sommes un collectif citoyen soutenu par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et conduite par Bally Bagayoko. Notre projet, pour les élections municipales, est ouvert à toutes celles et tous ceux qui veulent le changement par et pour les habitant-es.

LIRE L'ARTICLE »
Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

Elections municipales : la France Insoumise avance…..

Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

LIRE L'ARTICLE »
Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue. L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun. La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

Stop à l’expulsion du Landy Sauvage !

Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue.
L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun.
La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

LIRE L'ARTICLE »