Lancement de la démarche Faire Saint-Denis En Commun

Top départ de la démarche : Faire Saint-Denis En Commun

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C’est parti pour la liste citoyenne voulue par les Insoumis pour les élections municipales. Mercredi 3 juillet, une trentaine d’habitants et de militants se sont réunis à Franc-Moisin pour le lancement officiel de cette démarche. Début juin, les insoumis dionysiens, avec leur chef de file Bally Bagayoko (LFI), ont choisi de se lancer dans la bataille municipale en proposant la création d’une liste citoyenne. « La France Insoumise a lancé cette idée. En tant qu’habitants engagés au niveau local mais pas militants à la LFI, on a voulu répondre à cette démarche », explique Cécile Gintrac, professeure et membre du Comité de vigilance JO 2024 à Saint-Denis, l’une des organisatrices de cette première réunion.

 

Comme une dizaine d’habitants, elle fait partie des premiers engagés de cette démarche citoyenne qui a pour nom « Faire Saint-Denis en commun ». « Notre ville est à un tournant de son histoire, écrivent-ils dans un communiqué. Le Grand Paris, les Jeux Olympiques, la rénovation urbaine sont devenus des instruments de profit pour une poignée d’entreprises et d’investisseurs, au lieu d’être au service de tous, dénoncent-ils. Or, la plupart de ceux qui sont censés nous défendre font trop de compromis, et ne sont plus à la hauteur. On nous dépossède de notre ville et des décisions politiques. » C’est pourquoi ils répondent positivement à « l’opportunité offerte par la France Insoumise [de bâtir] une liste citoyenne ». Ils veulent que les habitants puissent proposer « des idées très concrètes pour répondre à ces trois urgences : la démocratie, l’écologie et les inégalités sociales ».

 

 

Le rapprochement avec les insoumis s’est fait naturellement, explique Cécile Gintrac. « Ce sont des militants qui sont sur le terrain au côté des gens. Ils ne sont pas juste là pour ramasser des voix », affirme-t-elle.Plusieurs insoumis étaient présents à cette première réunion où des habitants investis ont pris tour à tour la parole sur des sujets comme les écoles, le devenir des quartiers populaires, des jeunes, etc. « Ce qui m’importe, c’est que les habitants des quartiers populaires aient plus de pouvoir de décision », défend Mounir Othmane, habitant du quartier Saussaie-Floréal-Courtille. Certains ont loué la figure de Bally Bagayoko, chef de file des insoumis, présent à la rencontre. « C’est un homme de terrain, que l’on voit beaucoup, qui sait être à l’écoute », selon une habitante. « C’est l’homme le plus proche des gens », rajoute Kaïda Kroziz, enseignante et habitante à Allende, qui s’est battue contre la mise en place du stationnement résidentiel payant.

 

« C’est une première étape », a commenté Bally Bagayoko. Il assure que les Insoumis ont lancé l’idée de la liste citoyenne, mais ce sont les habitants qui gèrent la démarche. LFI continue d’avoir « ses propres démarches ». Le mouvement politique devra donc « trouver des convergences » avec la démarche citoyenne afin de « proposer un projet commun ». Faire Saint-Denis en commun va continuer d’organiser des rencontres dans les quartiers de la ville dans les prochaines semaines, précise Cécile Gintrac. « On va prendre notre temps », explique-t-elle. Le prochain rendez-vous aura lieu ce mardi 9 juillet (16h) dans le quartier Saussaie-Floréal-Courtille.

Source : JSD

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Bally BAGAYOKO Europacity : Avis défavorable du commissaire enquêteur à la révision du PLU !

Europacity : Avis défavorable du commissaire enquêteur à la révision du PLU !

Communiqué de presse
Europacity : Après l’avis très défavorable du commissaire enquêteur à la révision du Plan Local d’urbanisme (PLU) de la ville de Gonesse, une seule solution abandonner ce projet démentiel !.
Les élu-es du groupe REVE-insoumis saluent cette bonne nouvelle.

Le commissaire enquêteur vient de rendre son rapport et son avis est très défavorable. Sans surprise ce projet d’aménagement du Triangle de Gonesse est peu compatible avec la notion de développement durable, va à l’encontre de la politique contre le réchauffement climatique.

De plus les créations d’emplois annoncées pourraient se faire au détriment des activités présentes sur les territoires voisins, ajoutant que les objectifs en matière d’emplois sont peu en phase avec le niveau de formation local.

Cependant cet avis n’est que consultatif et la mairie (de Gonesse) risque fort de ne pas en cause la mise en place de ce projet d’un autre temps. Comme le rappelle la mairie de Gonesse: « La décision appartient aux élus».

Aux saigneurs de terres nous préférons les soigneurs de terres ainsi nous soutenons le projet du groupement de Coopération pour une Ambition et Métropolitaine Agricole (CARMA) qui créerait des emplois durables et non-delocalisables grace à l’agro-ecologie et à la redéfinition des circuits de production et de consommation tout en luttant contre le mitage des terres agricoles.

Pour nous ce projet sera toujours mauvais et inutile, 1,7 milliards d’euros seraient dépensés pour un énième centre commercial « au détriment des activités présentes sur les territoires voisins ».Et alors que l’autonomie alimentaire de nos villes est menacé à échéance d’une dizaine d’années.

De nombreux centres commerciaux, y compris en Ile-de-France (Millénaire, Domus, etc. ) peinent à trouver leur équilibre économique. Le modèle de faire société, de « vivre ensemble » hyper consumériste est fortement critiquable.
Il y a mieux à faire. La lutte continue pour préserver ces terres agricoles et aménager autrement le nord francilien.

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Cela montre l’attente forte pour une démarche affirmée de défense des classes populaires ajustée à notre époque, un projet politique novateur qui se définit lui-même ainsi : « Nous sommes un collectif citoyen soutenu par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et conduite par Bally Bagayoko. Notre projet, pour les élections municipales, est ouvert à toutes celles et tous ceux qui veulent le changement par et pour les habitant-es.

Elections municipales : Lettre ouverte des élu.es Insoumis de la majorité de Saint-Denis !

Cela montre l’attente forte pour une démarche affirmée de défense des classes populaires ajustée à notre époque, un projet politique novateur qui se définit lui-même ainsi : « Nous sommes un collectif citoyen soutenu par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon et conduite par Bally Bagayoko. Notre projet, pour les élections municipales, est ouvert à toutes celles et tous ceux qui veulent le changement par et pour les habitant-es.

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Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

Elections municipales : la France Insoumise avance…..

Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

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Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue. L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun. La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

Stop à l’expulsion du Landy Sauvage !

Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue.
L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun.
La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

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