[UNE BONNE ANNÉE 2018 : «……En 2018, c’est tout cela que je souhaite à chacun et chacune d’entre vous et à vos proches, avec une santé de fer comme habit de votre quotidien, croire, ne pas désespérer, aimer, donner à l’autre, sachez recevoir, être utile, audacieux, vivez vos rêves, créer, c’est le sens premier de la vie. Bally BAGAYOKO]

[UNE BONNE ANNÉE 2018 : « À force de ne plus croire en rien, c´est la vie qui désespère, Faut aimer pour être aimé, Faut donner pour recevoir, Viens vers la lumière » de l’humanisme et de l’universalité pour être utile au monde qui t’entoure. En 2018, c’est tout cela que je souhaite à chacun et chacune d’entre vous et à vos proches, avec une santé de fer comme habit de votre quotidien, croire, ne pas désespérer, aimer, donner à l’autre, sachez recevoir, être utile, audacieux, vivez vos rêves, créer, c’est le sens premier de la vie. Bally BAGAYOKO]

Sur la terre des hommes, le cycle de la vie qui passe est un éternel recommencement … Le temps qui passe est la synthèse à un instant T de notre histoire individuelle et collective, il nous permet de faire un point sur nous-mêmes, sur nos actions communes et sur notre environnement immédiat et lointain. Nous sommes tous et toutes des citoyens du monde et donc en cela nous sommes solidaires des souffrances de chaque humain quel que soit sa couleur de peau, ses croyances ou non croyances. Alors gardons mémoire sur le passé, car il restera une boussole utile pour ne pas reproduire nos erreurs et gardons un autre regard côté cœur, côté espoir, celui qui procure l’essentiel du sens premier de la vie…Car nous ne sommes finalement que des humains avec pour chacun et chacune, nos sensibilités, nos moments de difficultés, de doute mais aussi de bonheurs… Fêter l’entrée dans une nouvelle année c’est finalement être parmi les âmes qui vivent encore… Alors mes premières pensées vont à l’endroit de celles et ceux, amis-es, proches, familles, militants, personnalités, artistes, civils, qui n’ont pu monter à bord de ce train de la vie, qui nous ont quitté à la porte de 2018, celles et ceux qui sont partis beaucoup trop tôt mais qui restent à jamais dans nos cœurs et nos pensées. Ils et elles seront éternellement nôtres, honneur et pensée à leurs proches. A celles et ceux qui sont privés de leur droit de mobilité, de vivre dignement, maintenus en situation d’esclavage, victimes d’acte de barbarie, une pensée pour chacun d’entre vous et honte à vos agresseurs qui ne sont que des vergognes. À celles et ceux qui sont responsables de la perte de vies humaines ici ou là-bas, une honte éternelle, une condamnation à jamais nous vous souhaitons, barbares sanguinaires. Le sens de l’humanité n’a jamais été de priver des hommes, des femmes, des enfants, des civils, des personnes âgées, de la vie…C’est tout le contraire, indigne inhumain que vous êtes…

Nous nous devons collectivement une autre vérité, celle de marcher sans cesse vers le choc final, avec la destruction totale des richesses que la nature nous a léguées et que nous montrons jour après jour notre incapacité à entre être digne. Une richesse que nous détruisons avec un modèle de production capitaliste qui nous emmène, heure après heure à notre perte. Parce que nous refusons un autre modèle que celui du suicide collectif avec la complicité des États. Ce chantier environnemental, écologique et climatique, sera encore à relever en 2018 et les années suivantes, car il en va de l’avenir de l’humanité avec la mise en danger de millions de personnes et leur déplacement. Je souhaite que 2018 soit l’année d’une véritable prise en compte de cette réalité et des actions coercitives pour y remédier. 2018 doit nous rappeler nos échecs sur ce sujet.

Mes amis-es 2017 comme vous le savez et comme chacun et chacune d’entre vous l’avez vécue, a été une année difficile pour un grand nombre d’entre vous et de vos proches et où familles. L’année 2017 a aussi été une année de bouleversement profond du paysage politique au niveau nationale. Un paysage où les trahisons à gauche ont payé un lourd tribut avec eux la nécessité de reconstruire sur d’autre base une gauche utile à la population la plus large, une gauche qui protège les plus fragiles, redistribue et prépare l’avenir pour les générations actuelles et à venir. La France Insoumise, 1er mouvement de gauche au niveau national, dans lequel, je m’implique comme un grand nombre de citoyen.ne.s, doit être utile pour cette reconstruction d’une gauche, écologiste et citoyenne. D’autres espaces politiques, citoyens doivent pouvoir être utiles aussi, à la construction d’idées et d’actions communes. C’est aussi en assumant l’existence de La France Insoumise, comme point d’appui et d’actions, que nous devons accentuer nos ambitions d’une gauche forte, en rupture avec le modèle libéral dominant. La situation nationale l’exige et nous rend comptable de nos divisions inutiles à gauche. L’ensemble a vocation à agir profondément en étant ancré sur des valeurs de rupture avec le modèle autoritaire, libéral et mettant en son cœur les valeurs premières de la République : la Démocratie, la Solidarité, l’Égalité ; Liberté et la Fraternité. Toutes ces valeurs qui sont aujourd’hui piétinées par le gouvernement En Marche et son président.

Pour toutes ces raisons, en 2018 nous ne renoncerons à rien, ni à l’exigence d’une indignation individuelle et collective, ni à l’étape supérieure de cette indignation qui reste l’insoumission. Que je nous souhaite à chacun et chacune, pour être utile dans les luttes à mener et faire lever le vent de la victoire. Car nous aurons réussi collectivement à construire des convergences solides, au service de l’action collective, syndicale, citoyenne, associative et politique pour que viennent des jours heureux pour la majorité de la population et en particulier pour les quartiers populaires et les plus fragiles.

2018 nous ne renoncerons pas à nos victoires. Ces victoires doivent être individuelles et collectives pour chacun et chacune d’entre vous et vos proches. La victoire de la santé sur la maladie …La victoire dans la réalisation de vos projets contre l’échec…La victoire dans la réalisation de vos rêves contre les cauchemars…La victoire du collectif sur l’individualisme…La victoire de l’espoir contre la déception, le doute et le renoncement…La victoire contre les discriminations, le racisme, la xénophobie, les injustices qui minent notre société. La victoire de l’entraide, de la solidarité, contre la relégation et l’exclusion. La victoire de la paix, du droit, de la liberté contre les guerres qui endeuillent l’humanité, contre les processus de colonisation, d’apartheid et de privation des peuples. 2018 doit être l’année de la liberté retrouvée pour tous les militants de la paix, du droits des peuples injustement privés de leur engagement (Salah HAMOURI, Ahed TAMIMI, Mumia Abu Jamal, et tous les autres acteurs de la paix ) 

A chaque dionysien-ennes , je vous souhaite de continuer à croire en notre capacité collective à agir pour chacun et chacune de notre ville… A continuer à ne pas vous résigner y compris dans des périodes parfois compliquées où l’industrie du doute se lève devant certains choix politiques incompris parce que pas suffisamment expliqués, pas suffisamment co-construits avec vous … À chacun de ces moments nous devons retenir une chose que nous sommes capables de très grandes et belles choses. C’est le sens de l’engament que Elus-es, citoyens nous avons chevillé au corps.

Les conséquences des décisions du gouvernement En Marche sur les collectivités locales et territoriales seront dramatiques et nécessiteront que l’on soit plus que jamais unis pour agir collectivement pour tenter de parer à ces coups projeter en premier lieu contre les services publics, contre la fonction publique…contre tous ceux qui n’est pas au service de la finance. Nous devrons par nos choix politiques de gauche préserver le pouvoir d’achat de chacun de nos habitants de nos salariés ; maintenir et développer le service public, combattre les politiques d’austérité et en aucun les accompagner par nos choix politiques.

Avec la majorité municipale actuelle et mon groupe RÊVE Insoumis, je continuerai sans relâche à porter cette ambition d’une ville pour tous et toutes, où chacun et chacune doit cesser d’avoir peur du lendemain, où chacun et chacune doit pouvoir agir. Cette ambition malgré nos difficultés ne doit jamais nous lâcher car elle sonnerait la fin des valeurs profondes léguées par nos anciens qui ont su par leurs luttes, leurs résistances mais aussi par leur capacité de vision à bâtir une société locale encore accessible à tous. Rien est acquis et tout est à préserver jalousement pour les générations futures, devant la logique métropolitaine et du marché.

Saint Denis ville des Rois de France, ville Monde et de la Résistance doit rester notre socle commun, notre espoir commun… Pour nous éloigner le plus possible de cette réalité, qui pèse sur le monde, sur notre France, décrite par mon ami et enfant de Saint-Denis Grand Corps Malade, dans le slam « Course contre la honte » :

« Sur l´avenir de nos enfants il pleut de plus en plus fort
Quand je pense à eux pourtant, j´aimerais chanter un autre thème. Mais je suis plus trop serein, je fais pas confiance au système. Ce système fait des enfants mais il les laisse sur le chemin. Et il oublie que s´il existe, c´est pour gérer des êtres humains.On avance tous tête baissée sans se soucier du plan final.Ce système entasse des gosses et il les regarde crever la dalle.Tonton on est du bon côté mais ce qu´on voit, on ne peut le nier.J´ai grandi au milieu de ceux que le système a oubliés.
On vit sur le même sol mais les fins de mois n´ont pas le même parfum. Et chaque année monte un peu plus la rumeur des crève-la-faim. Le système a décidé qu´y avait pas de place pour tout le monde Tonton, t´as entendu les cris dehors, c´est bien notre futur qui gronde. Le système s´est retourné contre l´homme, perdu dans ses ambitions. L´égalité est en travaux et y´a beaucoup trop de déviations »

Des remerciements ensuite à chacun et chacune d’entre vous, agents communaux, communautaires, acteurs associatifs, de l’insertion, de l’emploi, mouvements sportifs, salariés, syndicats, militants, parents d’élèves, conseils citoyens, étrangers, enseignants, commerçants, entreprises, et tant d’autres, du fond du cœur de contribuer chaque jour à faire de cette ville un territoire qui compte dans une métropole que nous devons maîtriser et en faire un lieu où s’exerce en premier lieu la solidarité, la fraternité. Une ville dynamique, du vivre dans le respect, accueillante et qui prépare l’avenir. Notre ville de cœur a rendez-vous avec de grands enjeux (JOP2024, Coupe du Monde 2023 de Rugby, les chantiers de constructions des lignes du Grands Paris Express, la reconstruction de la Flèche de la Basilique, la création du pont habité permettant de relier le secteur Pleyel à la Plaine, les projets de constructions de logements, des aménagements en nombre pour améliorer le cadre de vie, préservation de l’environnement, amélioration de la propreté, du vivre ensemble, de la tranquillité) et tant d’autres projets, qu’il nous faudra collectivement réussir pour le territoire, les habitants, les commerçants et la jeunesse. Je nous souhaite d’agir plus fortement encore sur les politiques jeunesses en matière d’emploi, de formation, d’éducation, d’activité physique et culturelle.

Enfin, je souhaite présenter aussi à chacun et chacune d’entre vous des excuses, car nous ne sommes que des humains imparfaits. Alors des excuses pour mes moments d’oublis, de silence, un mauvais regard, une absence d’attention, de moment d’agacement. Rien de cela n’était volontaire pour une très large majorité d’entre vous.

Alors à chacun et chacune d’entre vous une excellente année 2018 à toutes et à tous, pleine de réussite dans tous les domaines. Que la santé et la fraternité soient pour chacun d’entre vous, amour. Je suis fier de chacun d’entre vous et fiers de ce que nous contribuons chacun et chacune à notre humble niveau à faire avancer chaque jour. A nouveau une pensée émue pour nos disparus de 2017 qui ont aussi apporté leur pierre à l’édification de nos ambitions pour notre ville. Une excellente année à tous en gardant en cap comme nous y invite Fabien Marsaud dit Grand Corps Malade « On va rien lâcher, On va rester groupé, Y´a les frères, les cousines, les cousins, y a les petits de la voisines, y´a les gamins perdus…, Y´a la mamie qui peut pas les aider, qu´a rien appris dans les livres, mais qui sait tout de la vie, À force de ne plus croire en rien, c´est la vie qui désespère, Faut aimer pour être aimé, Faut donner pour recevoir, Viens vers la lumière, On va aimer regarder derrière pour rien oublier » et mieux reconstruire..

 

Bally Bagayoko
Maire Adjoint délégué au sport, emploi, formation, grands événements, JOP2024
France Insoumise
RÊVE Insoumis Saint Denis

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Bally Bagayoko - LFI Saint Denis - Pierrefitte - Elections Municipales

Municipales 2026 : Les 15 & 22 mars, on vote pour notre ville !

Municipales 2026 : Les 15 & 22 mars, on vote pour notre ville !Ton quartier, ta voix, ton vote. Faisons la différence, ici, à Saint-Denis et Pierrefitte-sur-Seine. À retenir : le vote aura lieu les 15 & 22 mars 2026 Es-tu vraiment inscrit pour voter ?Avant le jour J, assure-toi que ton nom est bien sur les listes électorales !En 2 minutes, vérifie ici ta situation électorale. C’est simple, rapide, et 100 % en ligne.

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Bally Bagayoko - LFI Saint Denis - Pierrefitte - 1er septembre

1er septembre : fin de la récré pour les maires-candidats, vigilance populaire activée ! On vous a l’œil !

Ce 1er septembre, ce n’est pas que la rentrée des classes : c’est aussi le début officiel de la précampagne municipale.Dès cette date, les maires sortants n’ont plus le droit de confondre communication municipale et autopromotion personnelle. Les inaugurations à rallonge, les journaux de ville à leur gloire, les réseaux sociaux municipaux transformés en vitrine de campagne ? C’est terminé. Du moins, ça devrait l’être. Pour Mathieu Hanotin (maire de Saint-Denis et président de Plaine Commune) et Pierre-Michel Fourcade (maire délégué de Pierrefitte), la fin de la récré sonne fort : ils ont largement utilisé les outils de Saint-Denis, Pierrefitte, Plaine Commune et Plaine Commune

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Bally Bagayoko - LFI Saint Denis - Pierrefitte - Journée Souvenir Traite Negriere

23 août : Se souvenir pour résister, lutter pour réparer ! 

« Il ne suffit pas de commémorer l’abolition, il faut combattre ce qui la rend toujours inachevée. » Le 23 août marque la Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition, instaurée en 1998 par l’UNESCO.Cette date fait référence à la nuit du 22 au 23 août 1791, à Saint-Domingue (actuelle Haïti), où les esclaves se sont soulevés contre le système esclavagiste colonial français.Cette insurrection a été le point de départ d’une révolution victorieuse, qui aboutira en 1804 à la création de la première République noire indépendante, née de l’abolition arrachée par les esclaves eux-mêmes. Rappel des faits : une entreprise industrielle

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Bally Bagayoko - LFI Saint Denis - Pierrefitte - Le Gai Logis

Non à la transformation de logements sociaux en musée : le Gai Logis doit rester un lieu de vie !

Nous ne remettons pas en cause le principe d’un musée du logement populaire. Mais le choix de son implantation au Gai Logis est une faute grave.Dans un département marqué par une crise aiguë du logement, et dans une ville comme Saint-Denis où près de 10 000 demandes de logements sociaux restent non satisfaites, il est immoral, indécent et irresponsable de vouloir encore sacrifier 16 logements sociaux pour accueillir un musée, aussi ambitieux soit-il. Le Gai Logis : un patrimoine vivant, pas un décor de musée Construit en 1936, la résidence du Gai Logis — ou “le Guai Logis”, comme à l’origine — est un symbole

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Bally Bagayoko - LFI Saint Denis - Pierrefitte - La Police Tue

« La police tue » : une vérité dérangeante, un débat nécessaire, une République interpellée

Deux députés de La France insoumise, Aurélien Taché et Ali Dioura, sont aujourd’hui visés par des plaintes pour avoir osé dire une vérité que certains refusent d’entendre : oui, la police tue. Non comme une insulte gratuite envers une profession, mais comme constat d’une réalité tragique et appel politique à la réforme. Une parole qui, au lieu d’être criminalisée, devrait être entendue. Ce que les plaintes veulent faire taire : des faits, pas des slogans En 2023, 52 personnes sont mortes en France lors d’interventions policières. En 2024, ce chiffre est déjà au moins égal, voire supérieur, selon plusieurs observateurs indépendants. Cela représente plus d’un

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Bally Bagayoko - LFI Saint Denis - Accréditation Amfis 2025

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La France insoumise a pris la décision de ne pas accréditer un journaliste du Monde pour ses Amfis 2025, une université d’été politique et militante. Cette décision, parfaitement assumée, a suscité des cris d’orfraie dans certains cercles médiatiques, accusant LFI de « menacer la liberté de la presse ». Cette accusation est absurde, voire cocasse, et mérite d’être remise en perspective. Ce refus n’est pas une atteinte à la liberté de la presse ! LFI ne demande ni la censure du Monde, ni l’interdiction de publier, ni la suspension du livre La Meute. Le mouvement n’entrave aucunement la diffusion d’informations, aussi critiques soient-elles. Il refuse

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Bally Bagayoko - LFI Saint Denis - Pierrefitte - 10 septembre

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Le 4 août 2025 marque un tournant dans l’histoire du Stade de France : la société GL Events a pris officiellement la gestion de cet équipement emblématique, à l’issue d’une procédure longue, contestée, mais validée par la justice.Si le maire de Saint-Denis et président de Plaine Commune, Mathieu Hanotin, présente cette décision comme une victoire, nous y voyons au contraire un sujet majeur d’inquiétude démocratique, sociale et urbaine. Un équipement prestigieux, au cœur d’un territoire populaire !Depuis sa construction en 1998, le Stade de France a accueilli des événements de portée mondiale : Coupe du Monde de Football, Jeux Olympiques, concerts d’artistes internationaux, compétitions sportives

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Bally Bagayoko - LFI Saint Denis - Rentrée Scolaire

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