Après cinq années de casse du service public de l’éducation, nous attendions du nouveau ministre Pap Ndiaye des solutions concrètes et immédiates.

Après cinq années de casse du service public de l’éducation, nous attendions du nouveau ministre Pap Ndiaye des solutions concrètes et immédiates !

[#Rentrée scolaire en Seine-Saint-Denis : le ministre Pap Ndiaye avoue une « rentrée avec les moyens du bord »
Ce vendredi 15 juillet à Bobigny, nous avons rencontré, à notre demande, le ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye.
Nous avons fait entendre la parole et les revendications des familles, élèves, et acteurs de la communauté éducative de notre département, qui n’en peuvent plus d’une situation qui se dégrade : non-remplacement des enseignants absents, fermetures de classes, sous- dotation en moyens humains et matériels qui marque une faillite de l’Etat sur certains aspects du droit à l’éducation, notamment la scolarisation des enfants porteurs de handicap.
Nous avons préconisé la convocation d’un concours exceptionnel à Bac +3 pour élargir la base de recrutement de l’Education nationale pour la rentrée ou en tout cas le plus tôt possible.
Après cinq années de casse du service public de l’éducation, nous attendions du nouveau ministre Pap Ndiaye des solutions concrètes et immédiates. Nous nous réjouissons que le ministre avoue partager notre constat d’une situation d’urgence, sortant ainsi du déni qui a longtemps prévalu au sein de son administration. Nous déplorons cependant qu’il n’esquisse pour l’instant aucune solution tangible. « Une rentrée convenable avec les moyens du bord » : c’est tout ce que le ministre a à proposer pour la Seine-Saint-Denis. Le langage change, mais dans les faits, c’est la continuité qui prévaut.
Nous continuerons de nous tenir aux côtés des enseignants, des personnels des établissements, des parents d’élèves et de la jeunesse pour porter nos revendications : prendre des mesures exceptionnelles d’urgence en vue de la rentrée de septembre, engager un plan volontariste de rattrapage des moyens manquants dans notre département, revaloriser le métier d’enseignant et les métiers de l’éducation, revenir sur les réformes destructrices mises en place par le précédent ministre Jean-Michel Blanquer.
Éric Coquerel, Stéphane Peu, Thomas Portes, Soumya Bourouaha , Raquel Garrido , Bastien Lachaud, Alexis Corbière, Fatiha Keloua-Hachi, Aurélie Trouvé , Nadège Abomangoli , Clémentine Autain, Jérôme Legavre,
Députés NUPES de Seine-Saint-Denis
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L’autre #14Juillet 1953 à Paris, la police tire à balles réelles sur le cortège du #PCF, de la CGT et des indépendantistes algériens du MTLD et fait 7 manifestants assassinés. Place des Fêtes. À la mémoire des victimes, une affiche prise par un correspondant de L’Humanité.

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Deux amendements justes, qui permettaient d’engager sérieusement le rattrapage nécessaire des transferts de charge de l’Etat vers les collectivités locales sans jamais que la promesse de compensation à l’euro soit respectée par le même État. Une bataille menée depuis de nombreuses années alors que j’étais sur les bancs du conseil départemental de Seine Saint Denis.

2 amendements pour engager le rattrapage du droit des collectivités locales !

Deux amendements justes, qui permettaient d’engager sérieusement le rattrapage nécessaire des transferts de charge de l’Etat vers les collectivités locales sans jamais que la promesse de compensation à l’euro soit respectée par le même État. Une bataille menée depuis de nombreuses années alors que j’étais sur les bancs du conseil départemental de Seine Saint Denis.

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L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis et de gager les moyens financiers importants consacrés à cette candidature. Si cette situation advenait, le maire, président de Plaine Commune, le président du conseil départemental et sa majorité devront en assumer les conséquences et en porter toute la responsabilité.

L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis !

L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis et de gager les moyens financiers importants consacrés à cette candidature. Si cette situation advenait, le maire, président de Plaine Commune, le président du conseil départemental et sa majorité devront en assumer les conséquences et en porter toute la responsabilité.

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À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

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À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

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