Les enseignant-e-s ne sont pas grévistes ce jour et ont pris en charge les quelques élèves présents dans l’établissement lorsqu’ils ont pu entrer, majoritairement à 9h20.
Parents et personnels demandent à la DSDEN de répondre positivement aux revendications communes pour que le collège puisse reprendre une activité normale le plus rapidement possible.
Nous sommes mobilisé-e-s pour la réussite de TOUS nos élèves qui n’est déjà pas possible à l’heure actuelle. Nous refusons la dégradation annoncée des conditions d’apprentissage et de travail à la prochaine rentrée.
Nos principales revendications :
L’autre #14Juillet 1953 à Paris, la police tire à balles réelles sur le cortège du #PCF, de la CGT et des indépendantistes algériens du MTLD et fait 7 manifestants assassinés.
Place des Fêtes. À la mémoire des victimes, une affiche prise par un correspondant de L’Humanité.
Devant l’aveuglement du gouvernement Elisabeth Borne et du président de la République et ses associés LR et de l’extrême droite, décrétons l’urgence sociale ! C’est dans la rue que les choses se préparent et ce dès septembre 2022 lors de la grande marche contre la vie chère…
Stop à la précarité et aux bas salaires. La direction de l’université doit se hisser à la hauteur de ces attentes et revendications légitimes.
C’est pourquoi avec Jean Luc Mélenchon, nous assumons de porter la doctrine d’une France indépendante au service de la paix. Cela passera par mettre le peuple au centre et rompre avec la solitude dans l’action d’un président qui décide de tout, seul
Un appel et une présence à Madrid pour condamner ce monde et porter l’espoir d’un autre monde débarrassé de la prédation d’une minorité contre une majorité.
Deux amendements justes, qui permettaient d’engager sérieusement le rattrapage nécessaire des transferts de charge de l’Etat vers les collectivités locales sans jamais que la promesse de compensation à l’euro soit respectée par le même État. Une bataille menée depuis de nombreuses années alors que j’étais sur les bancs du conseil départemental de Seine Saint Denis.
L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis et de gager les moyens financiers importants consacrés à cette candidature. Si cette situation advenait, le maire, président de Plaine Commune, le président du conseil départemental et sa majorité devront en assumer les conséquences et en porter toute la responsabilité.
Après cinq années de casse du service public de l’éducation, nous attendions du nouveau ministre Pap Ndiaye des solutions concrètes et immédiates.
À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences