Bally Bagayoko - LFI Saint Denis - Afpa

Communiqué de presse : non à la baisse de financement de l’AFPA !

Pour une formation publique, populaire, accessible et émancipatrice
La France insoumise – Saint-Denis / Pierrefitte-sur-Seine exprime sa plus ferme opposition à la baisse annoncée de la subvention publique à l’AFPA (Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes), dans le cadre du Projet de loi de finances 2025.
Dans un contexte de chômage persistant, de besoins massifs en reconversion professionnelle et de nécessité de former aux métiers de la transition écologique, le choix du gouvernement est clair : affaiblir un acteur historique du service public de la formation.

Une baisse brutale et injustifiée

La subvention d’équilibre de l’État à l’AFPA passera de 171 millions d’euros en 2024 à seulement 115 millions en 2025, soit une baisse de 56 millions d’euros, correspondant à une réduction de près de 33 %.
Cette coupe budgétaire massive met en péril l’existence même de nombreux centres et menace directement :
• 6 000 salarié·es de l’AFPA, dont 263 postes déjà visés par des suppressions ;
• Les 100 000 stagiaires formé·es chaque année, parmi lesquels de nombreuses personnes en situation de précarité, de chômage ou de reconversion.

Une atteinte directe à la dignité des plus fragiles

Dans nos quartiers populaires, à Saint-Denis, Pierrefitte, et dans toute Plaine Commune, l’AFPA est un levier essentiel pour l’insertion et l’émancipation sociale :
jeunes sans diplôme, femmes en reprise d’activité, salarié·es en reconversion, personnes en situation de handicap, habitant·es des zones prioritaires…
Ce sont ces publics que cette décision vient frapper de plein fouet.

Une décision politique de démantèlement

Cette baisse n’est pas un accident technique : c’est un choix politique assumé, celui de réduire le rôle de l’État et de livrer la formation professionnelle aux logiques de marché, de sous-traitance, et de rentabilité immédiate.
En affaiblissant l’AFPA, le gouvernement attaque frontalement le droit à la formation, la lutte contre les inégalités et l’idée même de service public.

Les élu·es de Plaine Commune doivent prendre position

Nous appelons solennellement les élu·es de Plaine Commune, qui portent la compétence emploi, formation et insertion, ainsi que les élu·es de la commune nouvelle de Saint-Denis, à faire entendre la voix des territoires populaires.
Nous demandons qu’un vœu soit porté au Conseil territorial pour :
• Refuser publiquement cette baisse de financement,
• Exiger du gouvernement le maintien et la pérennisation de la subvention d’équilibre à l’AFPA,
• Affirmer l’attachement des élu·es au droit à la formation et à la justice sociale.

Le 10 septembre : toutes et tous mobilisé·es

Nous appelons l’ensemble des citoyen·nes, syndicats, associations et élu·es à se mobiliser le 10 septembre prochain, dans le cadre de la journée nationale d’action pour la défense des services publics et du droit à la formation.
La baisse des financements de l’AFPA est une attaque contre les droits fondamentaux.
Elle doit rencontrer une réponse forte, unitaire et populaire.
Défendons l’AFPA. Défendons le service public. Défendons la dignité.

La France insoumise – Saint-Denis / Pierrefitte-sur-Seine
Le 18 août 2025

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp
Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

Elections municipales : la France Insoumise avance…..

Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

LIRE L'ARTICLE »
Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue. L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun. La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

Stop à l’expulsion du Landy Sauvage !

Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue.
L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun.
La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

LIRE L'ARTICLE »
Solidarité avec les lieux auto géré et non marchand ! Solidarité avec les acteurs mobilisés autour du collectif Le Landy Sauvage, menacé d'expulsion à quelques jours de la trêve hivernale. Cette menace si elle devait être mise en oeuvre ferait disparaître tout un écosystème liant pratiques et créations artistiques sportives mais aussi solidarité à l'égard des personnes démunies.

Sauvons Le Landy Sauvage !

Solidarité avec les lieux auto géré et non marchand ! Solidarité avec les acteurs mobilisés autour du collectif Le Landy Sauvage, menacé d’expulsion à quelques jours de la trêve hivernale. Cette menace si elle devait être mise en oeuvre ferait disparaître tout un écosystème liant pratiques et créations artistiques sportives mais aussi solidarité à l’égard des personnes démunies.

LIRE L'ARTICLE »