Stop à la précarité et aux bas salaires. La direction de l’université doit se hisser à la hauteur de ces attentes et revendications légitimes.

Stop à la précarité et aux bas salaires et mauvaises conditions de travail !

📢 Solidaire avec les personnels BIATOSS ( Bibliothèque, ingénieurs, administratifs, techniques, ouvriers de service, sociaux et de santé : titulaires comme vacataires), des syndicats étudiants et salariés, et des revendications du collectif précaires DTR VNR, de l’université Paris 8, qui exigent à juste titre :

🔴 Les 480 000 euros attribués en matière de prime par le ministère doivent être versés de manière égalitaire aussi bien aux titulaires, que vacataire

👉 Une augmentation de 200 euros nets/mois

👉 la suppression des sur primes accordées à l’encadrement au détriment des salariés moins bien payés

👉augmentation de 15 euros bruts de l’heure pour tous les emplois étudiants de l’université sans distinction de missions

👉 l’exonération des frais scolarités

👉amélioration des conditions de travail

🔴Ces professionnels sont précieux au bon fonctionnement des établissements et leur fonction est souvent ignoré voir méprisé avec des salaires qui ne sont pas à la hauteur. Ils représentent environ 1/3 du personnel total de l’Education Nationale. Stop à la précarité et aux bas salaires. La direction de l’université doit se hisser à la hauteur de ces attentes et revendications légitimes.

#Education #UniversitéParis8 #DroitsDesSalariés #Revendications #AugmentationsSalaires

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L’autre #14Juillet 1953 à Paris, la police tire à balles réelles sur le cortège du #PCF, de la CGT et des indépendantistes algériens du MTLD et fait 7 manifestants assassinés. Place des Fêtes. À la mémoire des victimes, une affiche prise par un correspondant de L’Humanité.

L’Autre 14 juillet à ne pas oublier !

L’autre #14Juillet 1953 à Paris, la police tire à balles réelles sur le cortège du #PCF, de la CGT et des indépendantistes algériens du MTLD et fait 7 manifestants assassinés.
Place des Fêtes. À la mémoire des victimes, une affiche prise par un correspondant de L’Humanité.

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Deux amendements justes, qui permettaient d’engager sérieusement le rattrapage nécessaire des transferts de charge de l’Etat vers les collectivités locales sans jamais que la promesse de compensation à l’euro soit respectée par le même État. Une bataille menée depuis de nombreuses années alors que j’étais sur les bancs du conseil départemental de Seine Saint Denis.

2 amendements pour engager le rattrapage du droit des collectivités locales !

Deux amendements justes, qui permettaient d’engager sérieusement le rattrapage nécessaire des transferts de charge de l’Etat vers les collectivités locales sans jamais que la promesse de compensation à l’euro soit respectée par le même État. Une bataille menée depuis de nombreuses années alors que j’étais sur les bancs du conseil départemental de Seine Saint Denis.

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L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis et de gager les moyens financiers importants consacrés à cette candidature. Si cette situation advenait, le maire, président de Plaine Commune, le président du conseil départemental et sa majorité devront en assumer les conséquences et en porter toute la responsabilité.

L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis !

L’ensemble risque de définitivement disqualifier la candidature de la ville, de Plaine Commune et du Département de la Seine Saint Denis et de gager les moyens financiers importants consacrés à cette candidature. Si cette situation advenait, le maire, président de Plaine Commune, le président du conseil départemental et sa majorité devront en assumer les conséquences et en porter toute la responsabilité.

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À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

Il est possible de venir à bout des 1607 heures !

À Ville de Saint-Denis, les élus et leur maire Mathieu Hanotin ont décidé d’appliquer cette loi rétrograde. Résultat : désorganisation des services, augmentation du temps de travail sans augmentation de salaire, suppression de jours de congés sans compensation.. Les mêmes étant en responsabilité à Plaine Commune, ils ont aussi imposé cette loi avec les mêmes conséquences

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