Pollution dans le quartier Franc-Moisin

Depuis plusieurs mois des odeurs nauséabondes s’échappent du réseau d’égouts du quartier Franc-Moisin et incommodent les locataires. À cela s’ajoute le fait que plusieurs habitant.e.s, depuis la démolition du bâtiment 4 expriment des gênes respiratoires, apparition de boutons, maux de tête, nausée, etc. Il semble que ces désagréments auraient un lien avec le chantier en cours dans le cadre de l’ANRU et en particulier depuis la démolition du bâtiment 4.

Pour éviter l’inquiétude populaire sur le quartier Franc Moisin : l’information de la population est une priorité et l’analyse de l’ARS doit être rendue publique !

Je demande à l’actuel maire de la ville de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, et à son maire adjoint, président de Plaine Commune Habitat, Adrien Delacroix, d’apporter au plus vite les informations qui s’imposent face à l’inquiétude de plusieurs habitants du quartier Franc-Moisin. Plusieurs interventions ont été faites en ce sens et aucune information n’a été communiquée par la ville ni pour infirmer, ni pour confirmer les inquiétudes des habitants.

Nous savons que l’Agence régionale de la santé a engagé une analyse de l’aire et des sols. Est-ce une demande des pouvoirs publics ? À ce stade aucune communication n’a été faite auprès de la population ne serait ce que pour les rassurer d’autant que le quartier dispose d’un ensemble d’établissements scolaires avec des enfants.

L’inquiétude monde dans le quartier, il est important que la municipalité, le bailleur et plaine commune informent la population qui vivent dans ce quartier sur les données qui sont normalement en leur possession. Le conseil des citoyens, instance très impliqué sur le quartier, qui a été le premier à lance l’alerte auprès des pouvoirs publics a été ignoré et n’a eu aucune information. Les amicales de locataires eux aussi n’ont eu aucun retour et pourtant les habitants ne cessent d’exprimer leur inquiétude.

J’en profite pour saluer l’investissement des amicales des locataires sur ce quartier pour leur investissement auprès des habitants.

Pourtant, une réunion publique a eu lieu dernièrement et aucune information sur le sujet n’a été apportée par les élu.e.s présent.e.s.

Je demande à l’actuel maire d’apporter les informations élémentaires pour que la population soit informée sur les dispositions qui seront prises en cas de constatation d’une pollution et où contamination. Et s’il y a un lien avec le chantier, comme semble l’indiquer certains habitant.e.s (en l’absence de réponse à leur question auprès du bailleur et de la ville). La nécessité de stopper le chantier semble être un minimum afin de traiter le problème.

En attendant, la vigilance populaire doit être de rigueur le temps que la réassurance collective advienne.

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp
Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

Elections municipales : la France Insoumise avance…..

Dans d’autres coins, cependant, la campagne bat déjà son plein avec un appétit proclamé. « Nous n’en faisons pas notre priorité mais, dans certains endroits, nous avons déjà des têtes de liste comme Bally Bagayoko à Saint-Denis », détaille le responsable du comité de pilotage.

LIRE L'ARTICLE »
Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue. L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun. La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

Stop à l’expulsion du Landy Sauvage !

Le Landy Sauvage occupe une friche industrielle qui n’a pas besoin d’être rasée avant 2024. Si cette expulsion devait avoir lieu à trois jours de la trêve hivernale, c’est tout unécosystème liant pratiques sportives, créations artistiques, accueil des collectifs citoyens et solidarité avec les plus démunis qui disparaitraient, dans un quartier abandonné de ce point de vue.
L’Établissement Public Foncier d’île-de-France doit entendre raison et accepter d’ouvrir les négociations avec ces bénévoles sérieux et responsables afin de trouver une issue dans le sens de l’intérêt commun.
La ville de Saint-Denis et Plaine commune doivent aider à la sortie de cette impasse et soutenir le prolongement dans les lieux au moins jusqu’au début des travaux des Lumières de Pleyel en 2024.

LIRE L'ARTICLE »
Solidarité avec les lieux auto géré et non marchand ! Solidarité avec les acteurs mobilisés autour du collectif Le Landy Sauvage, menacé d'expulsion à quelques jours de la trêve hivernale. Cette menace si elle devait être mise en oeuvre ferait disparaître tout un écosystème liant pratiques et créations artistiques sportives mais aussi solidarité à l'égard des personnes démunies.

Sauvons Le Landy Sauvage !

Solidarité avec les lieux auto géré et non marchand ! Solidarité avec les acteurs mobilisés autour du collectif Le Landy Sauvage, menacé d’expulsion à quelques jours de la trêve hivernale. Cette menace si elle devait être mise en oeuvre ferait disparaître tout un écosystème liant pratiques et créations artistiques sportives mais aussi solidarité à l’égard des personnes démunies.

LIRE L'ARTICLE »